Ces femmes, une à une, un jour apparemment ordinaire, celui du ménage à la maison s’arrêtent, s’assoient et regardent. Alors commence une divagation, réflexion sur cet espace qui les entourent. A partir de quand dit-on que nous habitons quelque part ? Quelles sont nos habitudes, pourquoi ? Et si nos objets du quotidien se mettaient à parler ? que dirait l’éponge, le tableau oublié sur ce mur oublié ? que voyons nous par nos fenêtres ? Comment partageons nous nos espaces ? Cette création s’inspire des écrits de Georges Perec, des peintures d’Edward Hopper, des travaux de Christian Boltanski et Sophie Calle.
« Nous dormons notre vie d’un sommeil sans rêves. Mais ou est-elle, notre vie ? Ou est notre corps ? Ou est notre espace ? ». Georges Perec, l’nfra-ordinaire.