Jordan Bardella, le petit protégé de Marine Le Pen, vient rencontrer les militants locaux du Rassemblement National au Florida Palace, 164 bd Mireille Lauze.
Pourrissons-les : l’extrême-droite n’a pas sa place, ni à Marseille ni ailleurs !

Pour la rentrée des luttes, le Karaoklm remet ça à la Dar en soutien à l’Association des Usagers de la PADA (AUP).
Le topo ? On se déguise façon rétro-futuriste (ou pas), on file des thunes à l’entrée et au bar pour soutenir les camarades de l’AUP, on fait son choix parmi les 400 (et quelques) morceaux à disposition (il est encore temps d’en proposer si vous en trouvez une version karaoké sur youtube), on fait attention les un.es aux autres tant pour accéder au micro que dans la salle, et -surtout- on s’amuse comme jaja !!
L’Association des usagers de la Pada de Marseille a été créée en février 2020 par les demandeurs d’asile domiciliés à la Pada de Marseille pour favoriser l’entraide. Elle regroupe plus de 500 adhérents de 28 nationalités différentes. Elle s’investit dans 3 thématiques et activités principales : les permanences juridiques, l’accès à l’hébergement et le "marché rouge", qui consiste en la distribution de colis alimentaires, de produits d’hygiène, de lait et de couches pour les nourrissons.
à samedi 1er octobre, on est ensemble la mif !!

Un repas de soutien est organisé par Parastoo le dimanche 2 octobre - à partir de midi à la Casa Consolat - après le décès de Richie, victime d’un accident du travail en région parisienne le 15 juillet 2022. Richie est arrivé à Marseille à l’été 2018 depuis le Nigeria et a consacré beaucoup de temps et d’énergie à tisser des liens pour aider d’autres personnes de la communauté nigériane queer à s’installer à Marseille. Les violences sexistes, lesbophobes et transphobes ont jalonné son parcours d’exil.

C’est la rentrée du collectif contre les Centres de Rétention Administrative de Marseille !
L’antiCRA Marseille milite contre les frontières et toutes les formes d’enfermement.
Nous essayons de créer des liens avec les personnes enfermées au CRA de Marseille (et parfois de Nîmes, Sète, Nice). L’idée est de faire sortir la parole des prisonnièr.es et de dénoncer l’enfermement et les conditions carcérales. Mais aussi de pointer le système répressif tout entier, CRA, prison, frontières, et les entreprises collabos qui s’enrichissent grâce à lui.
On se retrouve dimanche 2 octobre à partir de 16h à la Dar, pour une série d’échanges sur les nouvelles du/des CRA et les luttes à l’intérieur.Retour ligne automatique
Suite à ça, on mangera ensemble un repas à prix libre préparé par les cuisinières de la cité des flamants, The Noble kitchen.
On sera aussi là pour répondre à vos questions si vous voulez nous rejoindre !
A bas les CRA, et toutes les prisons !

Le BTP est un secteur d’activité dans lequel les conditions de travail sont particulièrement précaires et celui où il y a le plus d’accidents du travail. En France, 20% des travailleureuses/travailleurs et travailleuses du BTP ne sont pas déclarées. Les autres sont isolés dans des statuts déprimants / précarisants (intérim, auto-entrepreneurs...). Les salaires sont généralement très bas et les non-versements de paye sont fréquents, surtout pour les personnes sans papiers.
C’est pourquoi on veut mener la lutte notamment sur les fronts de la régularisation des personnes sans papiers, la sortie des statuts précaires, la sécurité au travail, la fin du virilisme sur les chantiers...
Ensemble, on s’auto-forme sur les droits liés à nos différents statuts (droit de retrait, intempéries, accidents du travail...), on s’organise pour améliorer nos conditions de travail et nos rémunérations. On combat aussi toutes les discriminations qu’on vit au taf. On souhaite créer un lieu d’échange et de soutien où on peut se parler de ce qu’on vit et partager nos galères, des questions et des conseils.
Si vous bossez dans le bâtiment, que ce soit au black, en intérim, comme indépendant.e ou dans n’importe quel autre statut où vous êtes exploité.e.s, venez nous voir à l’occasion de nos permanences au local de Solidaires, 29 boulevard Longchamp, Marseille, tous les mercredis de 18h30 à 20h30.
Avec ou sans papiers, syndiqué.e ou pas, le collectif est ouvert à toutes les personnes qui travaillent dans le bâtiment.
Pour nous contacter :
btp13@riseup.net
0695754271

Salut,
Après une pause au mois d’août, les "cuisinières de la cité des flamants", rebaptisées "The Noble Kitchen",
remettent le couvert ce jeudi 12h30 avec un plat typique de la cuisine nigerianne.
Venez vous régaler sur place ou à emporter, en soutien à l’équipe qui
prépare chaque jour une centaine de plats pour les délogé.es suite à
l’incendie criminel et meurtrier de la cité des Flamants de l’été 2021.
C’est à la Dar centre social autogéré, 127 rue d’Aubagne, Marseille.
Prix libre / Maximum de solidarité.

Jeudi 6 octobre, plusieurs membres du collectif de la revue Z seront à la librairie Transit pour présenter leur dernière publication.
Depuis 2009, un collectif à géométrie variable d’enquêteurs, rédactrices, maquettistes, dessinateurs, illustratrices et autres joyeux déserteurs du journalisme traditionnel s’organise chaque année pour partir en itinérance pendant un mois.
Le principe : s’immerger dans la réalité d’un territoire, enquêter collectivement, prendre part aux luttes ; et à partir de ces ingrédients, fabriquer une belle revue d’analyse critique qui donne la parole à des gens qu’on entend peu, et où l’iconographie occupe une grande place.
Depuis les plantations d’arbres qui quadrillent la Montagne limousine, la revue Z s’attaque à la sylviculture industrielle qui détruit les sols comme les corps des personnes qui y travaillent. Avec celles et ceux qui se battent pour des usages populaires et collectifs des forêts, on tente de faire entendre des voix trop souvent recouvertes par le vacarme des machines.

Manifestation "Liberté pour Ocalan et pour un avenir démocratique, libre, et pacifique"
Le leader historique du Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK), Abdullah Ocalan croupit dans une prison turque depuis 1999, malgré son âge avancé et ses nombreux problèmes de santé. Ocalan est également privé de ses droits les plus élémentaires, comme rencontrer ses avocats, ses proches ou même recevoir du courrier ou un appel téléphonique. Condamné à la perpétuité, il est probable qu’il quitte la prison dans un cercueil.
Mais les Kurdes et les collectifs de solidarité restent mobilisés et organisent de nombreux événements ou d’actions pour attirer l’attention sur le cas d’Ocalan, et c’est pourquoi il est nécessaire de descendre en masse dans les rues.
Le Conseil Démocratique Kurde en France (CDK-F) appelle les Kurdes et leurs ami.e.s à descendre dans la rue afin d’exiger la libération du leader kurde.

Soirée projection du documentaire " NI DIEU NI MAITRE , UNE HISTOIRE DE L’ANARCHISME " en présence du réalisateur Tancrède Ramonet, suivi d’un débat, d’une bouffe et d’un concert. Lieu à venir dans la newsletter ici.

L’assemblée devient donc bi-mensuelle pour le moment. Ce dimanche discutons ensemble de ce qu’est le fascisme, réfléchissons ensemble sur l’antifascisme et sur ce que nous voulons faire.

Vincenzo Vecchi vit en France depuis fort longtemps, il n’a jamais tué personne que ce soit ici ou ailleurs mais il risque d’être extradé en Italie où il est menacé de 12 ans de prison pour avoir participé en 2001 (il y a 21 ans ...) à Gênes, aux manifestations (de 300 000 personnes) contre ce sommet du G 8. Pour tenter de justifier cette extradition et cet emprisonnement démesuré, les tribunaux italiens s’appuient sur le très poussiéreux « Code Rocco », un ridicule héritage des si rigides lois oppressives édictées par le fascisme vers 1930.
Il est important de se remémorer aussi que les trois leaders mondiaux de ce G 8 à Gênes en 2001 sont les trois pires criminels de guerre au monde des 30 dernières années. Ce sont les abominables George W. Bush, Tony Blair et Vladimir Poutine, tous 3 multi-récidivistes de bombardements meurtriers sur des populations civiles, tous 3 responsables de milliers de morts de femmes et d’enfants. Malgré leurs responsabilités écrasantes, aucun des trois n’a encore jamais été inquiété par la moindre juridiction internationale. Cela malgré que les 300 000 manifestants de Gênes en 2001 aient fait du bruit pour alerter sur les méfaits (ceux passés ainsi que ceux à venir) de ces trois criminels de guerre.
Le mouvement anti globalisation, avec notamment ce contre-sommet de Gênes en 2001, avait dénoncé avec extrême clarté et capacité d’anticipation les futures crises climatiques, environnementales, guerrières et sociétales qui aujourd’hui prennent les formes dramatiques que nous avons sous nos yeux.
Étonnamment fort, redevient donc le lien (en termes juridiques, policiers et politiciens) entre les juridictions vermoulues et les instances d’extrème-droite : Vincenzo Vecchi a été arrêté sous Mandat d’Arrêt Européen ! Le vieux continent vire vraiment de plus en plus vers du réactionnaire.
A présent l’état italien veut que la France lui livre un de ces 300 000 manifestants de Gênes 2001, un de ces 300 000 lanceurs d’alerte contre la barbarie sanguinaire des grandes puissances et des multinationales .
Pour la défense de Vincenzo Vecchi et pour que George W. Bush, Tony Blair et Vladimir Poutine soient enfin déférés devant la cour pénale internationale de La Haye, nous demandons à chaque personne en France qui s’oppose aux guerres de se préparer à des manifestations prochaines devant les consulats d’Italie, de Russie, des USA et de Grande-Bretagne
L’époque de la contre-offensive ( pacifiste ) collective, elle arrive.
Alors soyons nombreux-ses devant le consulat italien à exprimer notre solidarité et à nous opposer à l’extradition de Vincenzo Vecchi

LIBERTE TOTALE pour VINCENZO !
Le 11 octobre, la Cour de Cassation de Paris jugera en tout état de conscience si Vincenzo Vecchi doit purger 12 ans de prison au nom d’une loi fasciste.
21 ans après les faits, cet italien résidant en Bretagne risque 12 de prison en Italie pour avoir participé aux manifestations du contre sommet du G8 à Gênes en 2001.
Ici à Marseille, soyons nombreux-ses devant le consulat italien à exprimer notre solidarité et à nous opposer à l’extradition de Vincenzo :
RDV le mardi 11 octobre de 12 h à 13h30 devant le consulat italien, 56 rue d’Alger, 13005 Marseille.

Le BTP est un secteur d’activité dans lequel les conditions de travail sont particulièrement précaires et celui où il y a le plus d’accidents du travail. En France, 20% des travailleureuses/travailleurs et travailleuses du BTP ne sont pas déclarées. Les autres sont isolés dans des statuts déprimants / précarisants (intérim, auto-entrepreneurs...). Les salaires sont généralement très bas et les non-versements de paye sont fréquents, surtout pour les personnes sans papiers.
C’est pourquoi on veut mener la lutte notamment sur les fronts de la régularisation des personnes sans papiers, la sortie des statuts précaires, la sécurité au travail, la fin du virilisme sur les chantiers...
Ensemble, on s’auto-forme sur les droits liés à nos différents statuts (droit de retrait, intempéries, accidents du travail...), on s’organise pour améliorer nos conditions de travail et nos rémunérations. On combat aussi toutes les discriminations qu’on vit au taf. On souhaite créer un lieu d’échange et de soutien où on peut se parler de ce qu’on vit et partager nos galères, des questions et des conseils.
Si vous bossez dans le bâtiment, que ce soit au black, en intérim, comme indépendant.e ou dans n’importe quel autre statut où vous êtes exploité.e.s, venez nous voir à l’occasion de nos permanences au local de Solidaires, 29 boulevard Longchamp, Marseille, tous les mercredis de 18h30 à 20h30.
Avec ou sans papiers, syndiqué.e ou pas, le collectif est ouvert à toutes les personnes qui travaillent dans le bâtiment.
Pour nous contacter :
btp13@riseup.net
0695754271

13 octobre : "La France construit-elle les conditions pour ne plus se nourrir ?" Cas concret : l’avenir des terres de Pertuis. Avec la Confédération paysanne, Terres Vives Pertuis et des zapatatistes.
La rentrée 2022-2023 marque une nouvelle étape dans la vie du Café Culturel et Citoyen. Celle d’un engagement plus marqué dans la vie sociale, politique du pays d’Aix.
Tous les jeudis, le 3C propose donc de participer à ces questions. Projections, conférences gesticulées, rencontres autour d’un livre, d’un⸱e témoin ou d’une expérience collective emblématique. Toujours suivis d’un débat avec les invité⸱es, les Jeudis du 3C sont l’occasion d’écouter et d’apprendre, mais aussi de donner de la voix et de commencer à construire, collectivement.
A bientôt dans nos murs !

Une présentation et discussion autour de la lutte contre les mégas bassines et l’appel à manifestation le week-end du 29 octobre émanant des Soulèvements de la Terre.

Avis aux passionn.é.es, curieux.ses, motivé.es : une petite équipe a bien envie d’organiser un Gala de Sports de Combat à Marseille ! On est quelque.un.es de la Fraaape,un crew de boxe anglaise qui s’entraîne en mixité choisie sans mecs cis. On aimerait ouvrir et inviter largement à nous rejoindre pour cette orga !
Important : L’équipe d’orga est pour l’instant en mixité choisie sans mec-cis. On aimerait que la mixité de l’organisation reste sans mec-cishet mais à part cette mixité pour l’instant, tout est à construire !!
Le projet serait d’organiser un évènement sur plusieurs jours, avec des ateliers de sports de combat et autres (soin, discussions, ce qu’on a envie), ainsi qu’un moment de gala avec de la bagarre sur un ring.
Les sports, la chronologie, la couleur des tatamis .. Pour l’instant, rien n’est défini. C’est pour ça qu’on vous invite à venir à une super réunion de lancement de l’organisation le vendredi 14 octobre à 18h30 au Snack
On a bien besoin d’aide pour pouvoir créer un chouette évènement qui réunisse différents collectifs du sud ! Si tu as un peu, beaucoup d’énergie à investir ou si le projet te parle, n’hésite pas à venir à la réu !
A totbien,
L’équipe des motivé.es de la Frapppppe
Contact : galamars13@proton.me

Un petit groupe se forme pour organiser une manif vener et radicale le 25 novembre à Marseille. Pour rappel, le 25 novembre est la journée internationale pour l’élimination des violences sexistes et sexuelles.
Si vous êtes chaud.e.s de participer à cette organisation, à titre personnel ou en tant que collectif, rejoignez-nous pour en discuter samedi 15 octobre à 18h30 à Dar Lamifa (127 rue d’Aubagne)
On a besoin de monde et d’énergie, chaque compétence est bonne à prendre ! Retour ligne automatique
La réunion sera en mixité choisie sans homme cis.
Terf et swerf s’abstenir

Repas vegan cuisiné par des mains propres en soutien aux combatants anarchistes & anti-autoritaires partis se salir les mains en Ukraine. Prix libre.

Le 17 octobre 1961, des dizaines de milliers d’Algériens manifestaient pacifiquement à Paris contre le couvre-feu discriminatoire qui leur avait été imposé par le gouvernement de l’époque dont le Premier ministre, Michel Debré, était hostile à l’indépendance de l’Algérie, et le Préfet de Police Maurice Papon sous ses ordres. Ils défendaient leur droit à l’égalité, leur droit à l’indépendance et le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Ce jour-là, et les jours qui suivirent, des milliers de ces manifestants furent arrêtés, emprisonnés, torturés – notamment par la « force de police auxiliaire » – ou, pour nombre d’entre eux, refoulés en Algérie. Des centaines perdirent la vie, victimes d’une violence et d’une brutalité extrêmes des forces de police parisiennes.

RDV au manège Place du Général De Gaulle 13001 (La Canebiere/Vieux Port)

"Tout à la fois récit, essai, mais aussi témoignage d’une époque et d’un engagement, Des paillettes sur le compost est une exploration sensible et politique du quotidien. Dans un style enlevé – parfois cru, souvent cri – Myriam Bahaffou montre que c’est dans les replis de situations ordinaires (un rendez-vous chez l’esthéticienne, un déjeuner en terrasse…) que se déploie la puissance des écoféminismes.
Elle dynamite les codes et jongle avec les concepts, comme elle navigue dans la vie entre recherche et militantisme. Elle explore, dissèque, raconte des histoires décoloniales, antispécistes, queer et magiques. Loin d’être une philosophie désincarnée, un label marketing ou un argument électoral, l’écoféminisme se révèle en prise directe avec la réalité et la chair. Les mots de Donna Haraway, Audre Lorde, Jacques Derrida et bell hooks se mêlent aux cris des guerrières du Rojava et aux incantations des fées et des sorcières… dans ce livre qui, dans la pure tradition écoféministe, laisse joyeusement s’entrelacer les voix et les formes narratives."
| 18:00-19:00 — accueil, buvette et terrasse
| 19:00-20:30 — discussion en présence de Myriam Bahaffou
| 20:30-22:30 — Roïd (dj)

Le BTP est un secteur d’activité dans lequel les conditions de travail sont particulièrement précaires et celui où il y a le plus d’accidents du travail. En France, 20% des travailleureuses/travailleurs et travailleuses du BTP ne sont pas déclarées. Les autres sont isolés dans des statuts déprimants / précarisants (intérim, auto-entrepreneurs...). Les salaires sont généralement très bas et les non-versements de paye sont fréquents, surtout pour les personnes sans papiers.
C’est pourquoi on veut mener la lutte notamment sur les fronts de la régularisation des personnes sans papiers, la sortie des statuts précaires, la sécurité au travail, la fin du virilisme sur les chantiers...
Ensemble, on s’auto-forme sur les droits liés à nos différents statuts (droit de retrait, intempéries, accidents du travail...), on s’organise pour améliorer nos conditions de travail et nos rémunérations. On combat aussi toutes les discriminations qu’on vit au taf. On souhaite créer un lieu d’échange et de soutien où on peut se parler de ce qu’on vit et partager nos galères, des questions et des conseils.
Si vous bossez dans le bâtiment, que ce soit au black, en intérim, comme indépendant.e ou dans n’importe quel autre statut où vous êtes exploité.e.s, venez nous voir à l’occasion de nos permanences au local de Solidaires, 29 boulevard Longchamp, Marseille, tous les mercredis de 18h30 à 20h30.
Avec ou sans papiers, syndiqué.e ou pas, le collectif est ouvert à toutes les personnes qui travaillent dans le bâtiment.
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La bibliothèque de Nulle part ailleurs veut rouvrir mais elle a besoin d’un nouveau collectif.
Réu publique le 20 Octobre à 19h pour en reformer un, à la Dar.

20 octobre : "Marchandise, travail, valeur : Décoder le capitalisme. Par le Collectif "Crise et critique"
La rentrée 2022-2023 marque une nouvelle étape dans la vie du Café Culturel et Citoyen. Celle d’un engagement plus marqué dans la vie sociale, politique du pays d’Aix.
Tous les jeudis, le 3C propose donc de participer à ces questions. Projections, conférences gesticulées, rencontres autour d’un livre, d’un⸱e témoin ou d’une expérience collective emblématique. Toujours suivis d’un débat avec les invité⸱es, les Jeudis du 3C sont l’occasion d’écouter et d’apprendre, mais aussi de donner de la voix et de commencer à construire, collectivement.
A bientôt dans nos murs !

Salut, l’assemblée antifasciste de Marseille aura lieu ce dimanche 23 octobre à la Dar Centre Social Autogéré ce dimanche 18h. Retour ligne automatique
En ce moment, l’actualité oscille entre mouvements sociales et récupérationRetour ligne automatique
ignoble de l’extrême droite autour du meurtre de Lola en France. A l’internationale la nécessité antifasciste se fait sentir (Brésil,Iran,Italie...).Retour ligne automatique
Retrouvons-nous pour partager les initiatives et actions envisagées prochainement mais aussi pour réfléchir à ce que nous voulons faire dans ce contexte mais aussi dans un avenir plus lointain.

Le BTP est un secteur d’activité dans lequel les conditions de travail sont particulièrement précaires et celui où il y a le plus d’accidents du travail. En France, 20% des travailleureuses/travailleurs et travailleuses du BTP ne sont pas déclarées. Les autres sont isolés dans des statuts déprimants / précarisants (intérim, auto-entrepreneurs...). Les salaires sont généralement très bas et les non-versements de paye sont fréquents, surtout pour les personnes sans papiers.
C’est pourquoi on veut mener la lutte notamment sur les fronts de la régularisation des personnes sans papiers, la sortie des statuts précaires, la sécurité au travail, la fin du virilisme sur les chantiers...
Ensemble, on s’auto-forme sur les droits liés à nos différents statuts (droit de retrait, intempéries, accidents du travail...), on s’organise pour améliorer nos conditions de travail et nos rémunérations. On combat aussi toutes les discriminations qu’on vit au taf. On souhaite créer un lieu d’échange et de soutien où on peut se parler de ce qu’on vit et partager nos galères, des questions et des conseils.
Si vous bossez dans le bâtiment, que ce soit au black, en intérim, comme indépendant.e ou dans n’importe quel autre statut où vous êtes exploité.e.s, venez nous voir à l’occasion de nos permanences au local de Solidaires, 29 boulevard Longchamp, Marseille, tous les mercredis de 18h30 à 20h30.
Avec ou sans papiers, syndiqué.e ou pas, le collectif est ouvert à toutes les personnes qui travaillent dans le bâtiment.
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Rencontre avec Kamel Daoudi autour de son livre "Je suis libre… dans le périmètre qu’on m’assigne", paru aux éditions Le bout de la ville. Le 26 octobre à la Librairie L’Hydre aux Milles Têtes.
Kamel Daoudi est assigné à résidence depuis 2008. Forcé de déménager du jour au lendemain au gré des décisions ministérielles, séparé de ses proches, contraint de pointer chaque jour à la gendarmerie, il se débat dans un labyrinthe administratif. Non sans humour, ses écrits chroniquent sa lutte quotidienne et analysent le dispositif de l’assignation à résidence, un enfermement d’autant plus pernicieux qu’il ne dit pas son nom.
J’ai refait mes comptes. Je suis assigné à résidence depuis le 24 avril 2008, soit depuis treize ans, dix mois et vingt-trois jours, c’est-à-dire 5 075 jours. J’ai effectué 26 040 pointages au poste de police ou de gendarmerie. J’ai parcouru 57 759,8 kilomètres, soit près d’une fois et demi la circonférence de la Terre (40 075 km), tantôt à vélo, tantôt à pied

Les Jeudis du 3C, le 27 octobre : Présentation du livre de Guillaume Davranche et débat sur l’anarchisme et le communisme libertaire, son actualité et son à-propos dans le paysage politique du XXIème siècle
Qu’est-ce que l’anarchisme ?
Ses adversaires expédient volontiers la question en le réduisant à un milieu contre-culturel, à un état d’esprit anticonformiste, à une posture esthétique… Autant de façons de lui rogner les griffes, de le dépolitiser, de le sortir de l’histoire.Retour ligne automatique
Ce petit livre montre en quoi il est, au contraire, un courant très politique, structuré, porteur d’une alternative au capitalisme et d’une vision globale de transformation de la société.Retour ligne automatique
En s’appuyant tant sur les « grands auteurs » du passé que sur les orientations actuelles du mouvement libertaire, l’auteur s’efforce de répondre succinctement à dix questions que peuvent se poser celles et ceux qui veulent en savoir plus : d’où vient l’anarchisme et quel est son projet économique et démocratique ? Quelle est son approche écologiste, son implication féministe ? Quelle est sa politique vis-à-vis des nationalités et des religions ? Quelles sont ses stratégies d’action et ses modes d’organisation ? Comment a-t-il agi dans les révolutions passées ?Retour ligne automatique
Une vingtaine de portraits de militantes et militants historiques – de la Corée au Mexique, en passant par l’Algérie, l’Espagne et la France – complète ce tour d’horizon.

Comparutions immédiates, la Justice à la barre !

ciné débat à Massalia VoX, Ciné débat harissa et repas partagé prix libre

Rencontre avec Raphaël Kempf autour de son livre "Violences judiciaires. La justice et la répression de l’action politique", paru aux éditions La Découverte.
Des quartiers populaires aux Gilets jaunes, la question des violences policières est désormais centrale dans la société française. Or, si les violences policières peuvent se systématiser, c’est qu’elles sont sous-tendues par d’autres abus, moins spectaculaires, qu’il faut bien nommer pour ce qu’ils sont : des « violences judiciaires ». L’interpellation, la garde à vue, le jugement et l’emprisonnement des opposants politiques, d’un côté ; l’immunité accordée aux forces de l’ordre, de l’autre : c’est à chaque fois le pouvoir judiciaire qui valide ou actionne les agissements de la police. Dans un état d’urgence permanent, où la lutte contre le terrorisme semble tout autoriser, on assiste à une surenchère des arrestations, procès politiques et condamnations, qui brisent de plus en plus de vies.