Jeudi 16 janvier, le Midi Libre nous apprend que :
À peine une semaine après avoir “redécoré” (en fait, tapissé d’affichettes à l’effigie de leur ministre de tutelle, Jean-Michel Blanquer) le rez-de-chaussée des locaux de l’inspection académique, rue Pasteur, à Alès, cette fois, [les enseignant.es en lutte] en ont muré la porte, dans la nuit.
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Dans une missive, envoyée à la rectrice d’académie, avec copies au dasen (directeur académique des services de l’Éducation nationale) et aux deux inspectrices en Cévennes, signée « Les enseignant-es mobilisé-es », ils regrettent de ne pas avoir été reçus et écoutés.Et ils concluent : « Nous nous trouvons donc devant un mur que nous rendons visible. »