Le Général Maurice Schmitt me poursuit en diffamation. J’avais remis le 5 septembre 2014 une lettre (voir), en main propre, au Général Pierre De Villiers, Chef d’Etat Major des Armées, lettre dans laquelle était dit : " Le Général Maurice Schmitt (qui occupa les mêmes fonctions que vous actuellement, il y a quelques années) était capitaine à l’époque des faits, dans les fonctions d’officier de renseignements. Il rencontrait donc quotidiennement au QG de l’Etat Major d’Alger tous les autres officiers de renseignements du secteur ? Ils se retrouvaient pour faire le point sur leurs "résultats". Le cas de Maurice Audin (comme celui de Henri Aleg) a donc été obligatoirement commenté très largement étant donné l’importance de tels "détenus". "
Cette démarche faisait suite au Communiqué de l’Élysée du 18 juin 2014 déclarant : " Mais les documents et les témoignages dont nous disposons aujourd’hui sont suffisamment nombreux et concordants pour infirmer la thèse de l’évasion qui avait été avancée à l’époque. M. AUDIN ne s’est pas évadé. Il est mort durant sa détention ."
Cette audience sera l’occasion de mettre en lumière cette affaire et peut-être faire avancer la vérité sur cet assassinat, savoir ce qu’est devenu son corps et permettre ainsi à sa femme Josette, ses enfants Pierre et Michèle de faire leur deuil, de pouvoir se recueillir sur sa sépulture.
C’est l’Avocat Pierre MAIRAT du Barreau de Paris qui assurera ma défense lors de cette audience au TGI de Marseille à 14 heures.
22 septembre 2015 : A Marseille, l’Affaire Maurice AUDIN vient à la barre.
Communiqué de presse d’Henri Pouillot poursuivi par le Général Maurice Schmitt, ancien chef d’Etat major, condamné plusieurs fois en première instance ou définitivement, en particulier pour diffamation à l’encontre de diverses personnes notamment un ancien appelé.
PS :
Henri POUILLOT au 0686.400.201 ou de préférence par courriel à henri.pouillot@orange.fr