- Parce que même si ça dérange, nous existons et nous comptons bien le faire savoir.
- Pour nous organiser en dehors des structures hiérarchisées.
- Pour porter notre refus de nous soumettre à tout ce que l’État et les patrons imposent à nos vies.
- Pour nous retrouver avec celles et ceux qui luttent contre toutes les formes de contrôle et de violences exercées sur nos vies (flics, frontières, CAF, expulsions à Notre Dame des Landes, Bure et ailleurs, toutes les formes de domination).
- Pour refuser ensemble un appauvrissement et un isolement grandissant. Une organisation du travail qui tend à nous isoler et menace de nous arracher les quelques miettes que l’État et les patrons nous filent.
Lundi, des patates. Mardi, des patates. Mercredi, des patates. Jeudi, on s’éclate.

