"La lutte kurde n’est pas un crime"
Nous organisons, en tant que Collectif internationaliste Marseille Kurdistan membre du réseau Serhildan, une discussion intitulée "la lutte kurde n’est pas un crime".
Il nous semble important de revenir sur la criminalisation du mouvement kurde partout dans le monde et notamment en europe où de nombreuses personnes prennent de la prison pour ce motif. Ainsi nous ouvrons la discussion autour de la répression du mouvement kurde en général, mais aussi au sujet des supposés motifs de l’inscription du PKK sur les listes terroristes de l’UE, les enjeux géopolitiques de cette liste et la troisième voie théorisée par Abdullah Öcalan.
Partout dans le monde elles et ils sont vus comme des terroristes, réprimé.es de toutes les manières possibles, à l’image d’Abdullah Ocalan emprisonné depuis 1999 en Turquie et dont personne n’a de nouvelles, ni sa famille ni ses avocats depuis près de 3 ans.
Dans ce contexte répressif on ne peut oublier le sacrifice des kurdes dans la lutte contre daesh comme nous ne pouvons passer à côté de la révolution en cours au Rojava. Cette société basée sur la démocratie par la base, la libération des femmes et l’écologie sociale.
Rendez vous le vendredi 27 octobre à 19h à la Dar centre social.
CIMK (collectif internationaliste Marseille solidarité Kurdistan)