CYCLE DE DISCUSSIONS & RENCONTRES Déserter et s’organiser contre la guerre

“La guerre, un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas.”

1/ REFUSER DE FAIRE LA GUERRE POUR ISRAËL
ven 28 février // la Dar // 18h // 127, rue d’Aubagne – 13006 Marseille

Alors que la plus grande guerre menée par l’État d’Israël en Palestine et au Liban s’éternise, certain•e•s israelien•ne•s continuent de préférer aller en prison plutôt que de servir dans l’armée.

Avec Elisha, refuznik, et Martin Barzilaï, auteur du livre du même nom paru il y a quelques années aux éditions Libertalia, nous reviendrons sur la militarisation de la société israélienne, mais aussi sur l’actualité des mouvements de refus de la guerre.

Déserter et s’organiser contre la guerre

“La guerre, un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas.”

Plus un jour ne passe sans que les décideurs de tous bords ne fassent miroiter le retour probable voire imminent de la guerre dans nos contrées. Éloignée ces dernières décennies des portes de l’Europe et considérée comme définitivement mise en échec par l’avènement du libre-échange, la guerre n’avait pourtant pas disparu et continue d’être le quotidien dans de nombreux pays.

Quelles qu’elles soient, les guerres sont profondément liées au capitalisme. Elles servent des intérêts qui bien souvent dépassent ceux et celles qui les subissent. Aucune guerre ne sera jamais « juste », puisqu’elle servira toujours les intérêts des États.

La propagande est la première arme en temps de guerre : celle-ci parvient à faire passer les élans belliqueux des États comme étant acceptés ou désirés par les populations touchées.

Mais partout où c’est possible, de nombreuses personnes continuent de refuser de se battre au nom d’États dont ils ne reconnaissent pas les intérêts comme les leurs. De la désertion individuelle aux luttes affichées contre la guerre, en passant par les actes de sabotage, nombreuses sont les raisons qui poussent à cette décision et tout autant sont les formes que peuvent prendre ce refus, au prix souvent de lourdes conséquences : isolement, exil, jugements, enfermements…

Comprendre les dynamiques guerrières, s’informer sur les choix pour la refuser et les manières de s’y opposer, c’est se donner la possibilité de s’organiser contre ces guerres qui ne seront jamais les nôtres.

1/ REFUSER DE FAIRE LA GUERRE POUR ISRAËL
ven 28 février // la Dar // 18h // 127, rue d’Aubagne – 13006 Marseille

Alors que la plus grande guerre menée par l’État d’Israël en Palestine et au Liban s’éternise, certain•e•s israelien•ne•s continuent de préférer aller en prison plutôt que de servir dans l’armée.

2/ CANTINE DE SOUTIEN AU COLLECTIF « s’organiser contre la guerre – MARSEILLE »
ven 28 mars // Manifesten // 19h // 59, rue Adolphe Thiers – 13001 Mars

Délicieux repas à prix libre. Infokiosque antimilitariste sur place.

3/ UKRAINE & Russie : Désertion et RÉSISTANCES à LA GUERRE
sam 29 mars // la Dar // 18h // 127, rue d’Aubagne – 13006 Mars

Discussion animée par l’Initiative Olga Taratuta, collectif solidaire des réfugié•e•s, déserteurs et pacifistes en Ukraine, Russie et Belarus.

4/ ASSEMBLÉE PUBLIQUE : « et ici alors ? Comment lutter contre le militarisme ? »
fin avril // Marseille // 18h // Lieu à définir. Plus d’infos bientôt

A lire aussi...