Ce n’est pas un inconnu, Nicolas Meizonnet, il a connu son heure de gloire en se couvrant de ridicule lors de la mobilisation antifasciste contre la présence des élus FN dans les Conseils d’Administration des collèges du Gard : il avait notamment porté plainte contre le RAAGE30 pour... discrimination politique ! Plainte évidemment classée sans suite tant elle était totalement farfelue.
Après l’attentat de Nice sans manifester la moindre pensée pour les victimes et blessé·es ainsi que pour leur entourage, voici qu’il fait une sortie aussi radicale que vague : « Il est impératif que les individus soupçonnés dangereux soient mis hors d’état de nuire, et ce par n’importe quel moyen. » laissant les commentatrices et commentateurs écrire noir sur blanc ce que les élu·es FN ne peuvent dire ou écrire.
Exemples choisis, fautes d’orthographe et/ou grammaires incluses, d’ailleurs :
sauf que...
autres solutions, entre Mao et Hitler :
Les « blagues » les plus courtes étant les meilleures, on s’arrêtera là !