Si la condition de précaire nous réunit, elle a aussi pour effet de nous disperser. Différents modes d’organisation ont été tenté, la plupart n’ont réussi à organiser qu’une partie très spécifique des précaires et ont galéré à embrayer des luttes.
Aujourd’hui peut-il y avoir une perspective révolutionnaire sans organisations de précaires ?
Comment s’organiser pour construire des luttes face aux offensives du capital en crise ?
Réunion publique/débat organisé par le Réseau Communiste Antigestionnaire suivie d’un apéro !
Pour en savoir plus sur le réseau communiste antigestionnaire c’est par là.
Mardi 7 avril 18h à la Salle gueule, 8 rue d’Italie, 13006