La fin de la perpétuité incompressible, pas seulement pour lui mais pour tou·te·s les prisionnier·e·s était une des deux revendications qui motivaient sa grève de la faim. Alfredo a retrouvé hier un espoir de ne pas être condamné à mourir en prison et de retrouver un jour la liberté. Son jeûne prolongé ne sera pas sans conséquence sur sa santé à long terme et nous savons déjà qu’il a perdu la sensibilité d’un de ses pied.
La seconde revendication concernait l’isolement 41 bis, elle a trouvé un fort écho international et provoqué une vive solidarité. Cette lutte n’est pas finie, Alfredo, comme des centaines d’autres prisionnier·e·s reste soumis à ce régime de torture.
Continuons d’apporter notre solidarité à Alfredo et à lutter contre l’isolement 41bis et contre toutes les prisons !