La Cour de cassation, plus haute juridiction française, a établi mercredi 28 novembre un lien de subordination entre la défunte société de livraison de repas Take Eat Easy et l’un de ses coursiers à vélo. C’est la première fois qu’elle statue sur le lien contractuel entre un livreur et sa plate-forme numérique.
Les patrons de cette boite de bâtards-deux-point-zéro l’avaient mise en liquidation en 2016, en laissant 2500 livreur.ses sur le carreau alors qu’il savaient très bien qu’ils n’allaient pas les payer pour le dernier mois. Ces bâtards font maintenant des conférences sur les start-up payées une blinde devant des connards qui s’extasient de ce modèle exemplaire de management 2.0.