« Toute critique du principe démocratique fera naître le soupçon de flirt avec des oppositions réactionnaires ou fascistes. Car pour presque tout un chacun, le moins pire des régimes, c’est la démocratie, cet empire du moindre mal. Mieux valent des maux relatifs que le mal absolu. Et mieux vaut le mal commis au nom du bien que le mal commis pour le mal : le premier, au moins, on peut le corriger. Le dictateur torture. Le démocrate torture en réglementant la torture. »
(Gilles Dauvé et Karl Nesic, Au-delà de la démocratie).
L’idéologie démocratique est construite de telle façon qu’elle se veut non critiquable et indépassable. Et pourtant… depuis les campagnes électorales jusqu’au vote comme « expression de la volonté populaire », en passant par les modes de scrutin, on peut démonter un par un les arguments démocratiques pour faire tomber ce contrat social de son sacro saint piédestal.
Des idées de textes qui donnent des idées :
- Mort à la démocratie de Léon de Mattis.
- Des textes de Gilles Dauvé et Karl Nesic, ici.
- Ou encore quelques courts textes sur Infokiosques.net.