Et ils l’ont très joliment appliqué au début des années 1970, multipliant les explosifs coups d’éclat, les raids dans les quartiers riches et les dynamitages de lieux publics, avant de plonger dans la clandestinité et de faire la nique au FBI. Ils, ce sont les activistes américains du Weather Underground, petit groupe ayant versé dans la lutte armée sans tomber dans ses potentiels travers. Désormais rangés des voitures, ils se confient dans le documentaire Weather Underground, œuvre des réalisateurs Green et Siegel (2003). Projection mercredi 15 février – viens avec ton bâton de dynamite…