Des milliers de personnes s’étaient rassemblées à Gap le 8 novembre eu lieu à Gap en solidarité avec les 7 personnes accusées d’aide à l’entrée sur le territoire de personne en situation irrégulière, en bande organisée. Elles risquaient jusqu’à 10 ans de prison ferme.
Suivi du procès pour les 3+4 de Briançon !
Jeudi 8 novembre, grand procès politique autour de la liberté de circulation à Gap ! #SolidaritéSansFrontières !
Les autorités, qui traquent sans relâche les exilé.es à la frontière et tentent d’abattre les solidarités, avaient pour l’occasion mobilisés un déploiement policier à la mesure de l’imposture de ce procès. Canon à eau, brigades de CRS, de gardes mobiles, BAC, brigades canines, gendarmes départementaux, police nationale... des centaines de flics déployés dans Gap et sur de multiples barrages routiers depuis la veille au soir à l’occasion du concert de soutien.
Au terme d’un procès qui dura de 8h du matin jusqu’à 2h du matin, le procureur requit 12 mois de prison dont quatre fermes contre deux des accusés et 6 mois de prison avec sursis pour les cinq autres.