Délibéré du procès ce jour : aucun délai accordé à la Maison Cézanne (Gap – 05).
20 personnes risquent de se retrouver à la rue dès ce soir.
La préfète Mme Bigot-Dekayzer semble bien décider à appliquer cette décision rapidement, aucune proposition de relogement n’a été faite, l’expulsion de ce lieu d’habitation qui existe depuis 2016 est encore une preuve du désengagement de l’état et de ses pratiques inhumaines et dégradantes face aux exilé.e.s.