Concert au bénéfice de la maraude Mentalité Virage Depé.
Une soirée en soutien à ce collectif de supporters marseillais qui multiplie ces dernières années des actions de solidarité avec les plus précaires, dont des distributions de repas tous les mardis et vendredi dans les rues du centre-ville

No Bassaran !
Contre les projets destructeurs, le collectif BassinesNonMerci lance un nouvel appel à se retrouver

Arpentage mensuel à Manifesten (59 rue Thiers 13001 Mars) de 14h à 17h. Ce mois-ci, on décortique et critique collectivement les liens entre épidémies et capitalisme !

On n’oublie pas, on pardonne pas ! Rencontre avec Cenre-ville pour tous et le Collectif du 5 novembre autour d’une proj de "la Bataille de la Plaine" le 6 novembre au Gyptis, rue Loubon/Belle de mai à 18h, en hommage à Fabien, Simona, Marie-Emmanuelle, Chérif, Niasse, Ouloume et Taher, tués par une politique du logement indigne et infecte.

Les éditions Libertalia ont clairement la niaque en cette morne rentrée. On en veut pour preuve la sortie de Feu, ouvrage collectif coordonné par la philosophe Elsa Dorlin.

Ce jeudi 11 novembre à 19h. Technopolice c’est un site (www.technopolice.fr) et une campagne visant à documenter les technologies de surveillance po licière (drones, reconnaissance faciale, vidéosurveillance automatisée, police prédictive…) pour mieux lutter contre elles. Technopolice c’est donc aussi un forum et des outils pour pouvoir participer et résister localement.

A travers des ateliers de sensibilisation, des débats, la diffusion d’interviews et de témoignages nous montrerons aussi qu’il ne s’agit pas d’un cas isolé. Ces journées de la vérité s’achèveront par un grand rassemblement sous l’ombrière du Vieux Port, d’où nous lancerons l’opération Vérité Pour Souheil, Vérité Pour Tous.

À taaable ! Ce vendredi 12 novembre à 19h30, la cantine des solidarités Mani-festin vous mijote un succulent repas à prix libre (maximum solidarité !), afin de récolter de l’argent pour l’association « Il fait bon vivre dans ma cité ». Ce collectif d’habitants de la cité d’Air Bel (11e) lutte contre l’abandon et l’insalubrité de leur quartier où les réseaux d’eau sont contaminés par la légionelle.

A travers des ateliers de sensibilisation, des débats, la diffusion d’interviews et de témoignages nous montrerons aussi qu’il ne s’agit pas d’un cas isolé. Ces journées de la vérité s’achèveront par un grand rassemblement sous l’ombrière du Vieux Port, d’où nous lancerons l’opération Vérité Pour Souheil, Vérité Pour Tous.

Nous, des personnes solidaires auto-organisées, les collectifs et associations du Briançonnais, lançons un appel d’urgence afin de mobiliser des militant.es dans les plus brefs délais pour :
1- Continuer d’organiser une solidarité d’urgence sur les besoins élémentaires des exilé.es qui arrivent à Briançon, informer ces personnes, relayer des informations et être présent.es face au non respect des droits des personnes exilées par les forces de l’ordre.
2- Organiser des permanences jours et nuits, en vue d’une prochaine réouverture du refuge solidaire (et/ou d’un second lieu d’accueil d’urgence) : sécurité des personnes accueillies, logistiques diverses et liens avec les maraudes en montagne.
3- Partout sur le territoire, accueillir, informer et soutenir les personnes sans papiers.
4- Une manifestation aura lieu à Briançon le 13 novembre 2021, RDV à 14h devant la médiathèque.
Toutes les compétences et les motivations de votre part sont les bienvenues, notre énergie n’est pas infinie.
CONTRE LES POLITIQUES RACISTES DE L’ÉTAT ET SES FRONTIERES, MOBILISONS NOUS !!!!!
Pour nous contacter : bribrihelp@riseup.net

En partant de la visite de trois lieux situés dans le quartier parisien de la Porte Dorée (le Palais de la Porte Dorée, le monument à la mission Marchand et la statue d’Athéna), qui font référence au passé colonial de la France, cet ouvrage aborde la ville sous l’angle décolonial.
L’auteure y fait le point sur les débats et les luttes menés dans le monde autour de ces monuments controversés.

À l’occasion des trois ans des Gilets jaunes, Sébastien Navarro vient présenter le livre "Péage Sud", sorti aux éditions du Chien rouge, en novembre 2020.

A travers des ateliers de sensibilisation, des débats, la diffusion d’interviews et de témoignages nous montrerons aussi qu’il ne s’agit pas d’un cas isolé. Ces journées de la vérité s’achèveront par un grand rassemblement sous l’ombrière du Vieux Port, d’où nous lancerons l’opération Vérité Pour Souheil, Vérité Pour Tous.

A travers des ateliers de sensibilisation, des débats, la diffusion d’interviews et de témoignages nous montrerons aussi qu’il ne s’agit pas d’un cas isolé. Ces journées de la vérité s’achèveront par un grand rassemblement sous l’ombrière du Vieux Port, d’où nous lancerons l’opération Vérité Pour Souheil, Vérité Pour Tous.

Le Collectif "Palestine en Résistances" et la Librairie Transit vous invitent à rencontrer Raed Issa et Mohammed Al Hawajri du Groupe d’artistes palestiniens de Gaza Eltiqa Eltiqa Group - Gallery & Contemporary Artists | pour un échange autour de "Quelle création dans une prison à ciel ouvert"

D’abord installé dans un hangar squatté en 2015, puis bondissant d’occupations en occupations, le collectif el Manba est maintenant installé au 8 rue Barbaroux 13001. Nous vous invitons à venir nous y rencontrer et penser avec nous les luttes présentes et à venir ce mardi 16 novembre !

Ce livre est un témoignage de ce que racontent des femmes migrantes, les raisons de leur départ, leur parcours migratoire souvent douloureux, toujours courageux. Sans en avoir le droit, clandestines, elles arrivent dans un pays qu’elles ne connaissent pas, un pays qui ne veut pas les accueillir. Elles racontent l’errance en France, l’humiliation, le rejet... Elles témoignent aussi de solidarités, disent leurs espoirs, leurs combats et leurs victoires.

Causerie organisé par le groupe Germinal de la Fédération Anarchiste sur les déchets de la surconsommation dans les poubelles du capitalisme.
Projection du film "les tribu de la récup" en présence de la co-réalisatrice, Emmanuelle Zelez. Voir moins

Bar de soutien au mois contre les violences d’Etat, le Snack, jeudi 18/11 à 19h

En association avec Palestine 13
Dans les territoires palestiniens, depuis l’occupation de 1967, le passage par la prison a marqué les histoires personnelles et collectives. Les arrestations et les incarcérations massives pour des motifs d’ordre politique ont installé ce que l’auteure appelle une toile carcérale, une détention suspendue. Environ 40 % des hommes palestiniens sont passés par les prisons israéliennes depuis 1967. Cet ouvrage remarquable permet de comprendre en quoi et comment le système pénal et pénitentiaire est central des modes de contrôle des Territoires palestiniens.
Le texte s’appuie sur une enquête de plusieurs années pendant laquelle plus de 350 longs entretiens ont été conduits, mais aussi sur des archives et des documents juridiques. La trame narrative retrace l’histoire de cette toile carcérale et des vécus de l’enfermement tout en emmenant les lecteurs dans les pas de l’auteure et de son enquête.

Soirée de présentation de L’Envolée et du livre "La peine de mort n’a jamais été abolie"

Films Femmes Méditerranée retrouve les salles de cinéma du 20 au 25 novembre 2021 pour sa 16e édition à Marseille et en région !
Pour cette occasion, cette année, les places de cinéma sont gratuites pour :
➔ Les moins de 26 ans
➔ Les étudiant·e·s
➔ et les demandeur·euse·s d’emploi.
(sous présentation d’un justificatif).
Profitez-en ! 🙂
Il y en a pour tous les goûts : nous avons le plaisir de vous présenter une sélection de longs et courts métrages, fictions et documentaires. Partez pour un voyage cinématographique au cœur de la méditerranée et au-delà !
Vous pourrez rencontrer des réalisatrices et des professionne.les du cinéma, participer à notre Leçon de Cinéma, échanger avec les artistes afghanes lors de notre Table Ronde, découvrir les films de Cecilia Mangini dans le cadre de notre hommage inédit, voir des films en avant-première et des inédits !
L’équipe Films Femmes Méditerranée a le plaisir de vous accueillir du 20 au 25 novembre lors de nos rencontres qui se dérouleront dans 5 lieux à Marseille (La Baleine, Les Variétés, Le Gyptis, L’Alhambra, Le Vidéodrome 2, L’institut Culturel Italien et la Mairie du 1/7) et aussi en région.

Depuis un demi-siècle, nous connaissons la biologie du loup et nous en savons autrement plus qu’au Moyen-Âge lorsqu’il remplissait les campagnes et les imaginaires. Or la réalité dépasse la fiction. Samedi 20 Novembre à 17h, dans le cadre des causeries mensuelles du CIRA-Marseille.

La race tu deux fois
« De telles listes sont dressées depuis les années 1970. Compilées par plusieurs générations de militants, elles sont enfouies dans les caves des archives associatives et présentent toutes le même format, à la fois sec et funeste. On y trouve la date du crime, le nom de la victime, suivis d’une ou deux phrases laconiques. Elles frappent par leur rudesse, leur longueur et leur nombre. Poser une liste conduit inexorablement à en trouver une autre quelques jours plus tard. Ces listes expriment l’idée d’une injustice. Elles dénoncent le racisme et l’impunité du racisme. Elles pointent du doigt les crimes, mais également la grande majorité des procès qui ont fini par des peines légères avec sursis ou des acquittements, quand ce n’est pas un non-lieu qui est venu clore l’affaire.
Arrête-toi !
Le 25 juin 2013, une opération de police à Villemomble fait basculer la vie de la famille Kebe.
"Arrête-toi !" raconte les violences policières subies ce 25 juin mais, au-delà, les vives cicatrices, les profonds déséquilibres et les répercussions dont elles sont le nom au sein de la famille.
Arrête-toi ! est un récit de l’intime. Il dépeint le parcours d’un jeune homme confronté, avec sa famille, à la machine policière et judiciaire.
Une histoire d’arrestation policière qui fait tout basculer. Mais également l’histoire d’un combat où se mêlent rencontres, espoirs et solidarités.

Journée contre le racisme d’état et les violences policières le 21Novembre.
De 12h à 21heures, la Plaine.
Au programme :
12h Bouffe.
12h-19h : Infokiosques, Bouquins, Tables et/ou ateliers avec différents individus et collectifs : Matsuda, Anti-CRA ,Désarmons-les, Legal Team...
14h Discussions et ateliers avec le collectif Matsuda.
19h-21h : Open Mic et Bouffe.
Evènement en soutien au collectif Anti CRA de Marseille.
N’hésite pas à faire tourner l’info et à passer.

Contre la venue d’Eric Zemmour à Marseille, contre son discours raciste, islamophobe, antisémite, nationaliste, sexiste, masculiniste ! Rendez-vous ce vendredi 26 novembre à 18h aux Reformés

Alizé Bernard a été victime de violences conjugales. Si elle savait les difficultés qu’ont les femmes à parler et à se faire entendre, elle n’imaginait pas combien le statut de son conjoint rendrait son combat pour s’en sortir plus difficile encore. Car ce dernier était gendarme. Or comment faire quand celui qui vous bat se sert de son statut, représentant de l’ordre, de sa place dans l’institution policière, de sa connaissance des procédures et des liens supposés de solidarité avec ses collègues, pour vous intimider, vous dissuader de vous défendre et faire valoir vos droits ? A Sophie Boutboul, journaliste travaillant sur les violences faites aux femmes, elle a accepté de raconter son histoire ; les mois de silence, isolée en caserne, persuadée que nul n’accepterait de la croire, la peur démultipliée devant un homme incarnant la loi et disposant d’une arme de service, puis les années de luttes, seule, pour faire valoir ses droits malgré les obstacles qu’elle dénonce ; les tentatives de dissuasion de certains gendarmes, les procédures non respectées, l’absence de sanction hiérarchique, l’indulgence de certains juges. L’impression de se battre contre un système.
Au récit de son combat étape par étape, répond, en alternance, l’enquête qu’a menée Sophie Boutboul. Car le cas d’Alizé n’est pas isolé. Chaque année, des femmes meurent sous les coups et les balles de leur conjoint policier ou gendarme. Pendant un an et demi, elle a sillonné le pays pour recueillir le témoignage de femmes ayant connu le même chemin de croix : les tentatives de dissuasion, les menaces, les procédures caduques, la protection, voire l’impunité, dont certains ont joui du fait de leur statut. Pour en comprendre les raisons, elle a rencontré des avocats, juges, magistrats, les membres d’associations aidant des femmes dans le même cas, les familles des victimes, mais aussi des policiers et des gendarmes reconnaissant les conséquences de leur métier sur leur vie personnelle et l’absence de mesures pour les prévenir, et les hauts placés de l’IGPN et de l’IGGN, les instances d’inspection de la police et de la gendarmerie. Elle expose les failles d’un système qui ne pense pas la place des femmes auprès d’hommes exposés à la violence et les risques que cela implique. C’est un texte engagé qu’Alizé Bernard et Sophie Boutboul signent là. Pour permettre aux femmes victimes de telles violences de savoir qu’elles ne sont pas seules. Ouvrir le débat et proposer des pistes de réflexion, des solutions, pour protéger les victimes de ces violences particulières.

Nous ferons entendre nos voix et nous marcherons donc contre les violences systémiques envers les femmes et les minorités de genre, le 25 novembre 2021 à 18h30, départ au Vieux Port.

L’histoire débute à la fin du XIXe siècle. Persuadés d’avoir retrouvé en Afrique la nature disparue en Europe, les colons créent les premiers parcs naturels du continent, du Congo jusqu’en Afrique du Sud. Puis, au lendemain des années 1960, les anciens administrateurs coloniaux se reconvertissent en experts internationaux. Il faudrait sauver l’Éden ! Mais cette Afrique n’existe pas. Il n’y a pas de vastes territoires vierges de présence humaine, et arpentés seulement par ces hordes d’animaux sauvages qui font le bonheur des safaris touristiques. Il y a des peuples, qui circulent depuis des millénaires, ont fait souche, sont devenus éleveurs ici ou cultivateurs là. Pourtant, ces hommes, ces femmes et enfants seront – et sont encore – expulsés par milliers des parcs naturels africains, où ils subissent aujourd’hui la violence quotidienne des éco-gardes soutenus par l’Unesco, le WWF et tant d’autres ONG.
Convoquant archives inédites et récits de vie, ce livre met au jour les contradictions des pays développés qui détruisent chez eux la nature qu’ils croient protéger là-bas, prolongeant, avec une stupéfiante bonne conscience, le schème d’un nouveau genre de colonialisme : le colonialisme vert.

Bar, Repas, Rebetiko, Boum.
Prix libre en soutien au camion collectif.
Le camion, c’est un super Sprinter, qui vient en soutien à des personnes, des lieux et des collectifs en lutte. Depuis plus d’un an, à Marseille, il sert aux récups, maraudes et distributions alimentaires, ainsi qu’à déménager les affaires de personnes expulsées. Il approvisionne aussi en bouffe et matos des évènements, des cantines, des fêtes, et vient en soutien à des lieux en lutte, notamment à la frontière. Le camion est un fervent anticapitaliste, mais comme vous, il a parfois besoin d’un peu thunes dans sa poche pour rouler sereinement (assurance, essence, amendes…).

Cette revue haïtienne présente les points de vue des contributeurs de différents pays au sujet des phénomènes de créolisation dans le monde à partir de photographies, de dessins, de réflexions et de poésies (etc...).
Qu’est ce que les populations créoles ont à partager aujourd’hui ? Quelles sont leurs singularités respectives ? Quelles sont les marques communes laissées par les oppressions coloniales ?

Ca y’est l’automne est bien engagé et le béton n’a pas pointé le bout de son nez. Ca tombe bien on a de nouveaux projets !
Pourtant le projet d’agrandissement de la ZAC, de bétonisation des terres et d’expulsion des familles qui vivent sur place est toujours d’actualité. Il semble bien que la mairie et les bétonneurs avides de profits n’aient pas bien compris que ces terres, nous ne les lâcherons pas.
Nous avons été nombreux.ses lors de cette première saison de lutte qui a vu une culture de patates et cinq grands rassemblements. Nous étions plus de 500 pour la plantation au printemps. Malgré la torpeur de l’été nous avons été des centaines à venir entretenir cette culture et préparer la suite de la lutte. Les terres de pertuis ont accueilli des collectifs en lutte venus du Briançonnais, du Var, de Marseille et même lesRetour ligne automatique
Zapatistes du Chiapas lors de la dernière manifestation.
Face au profit de quelques-uns nous avons opposé la solidarité, l’horizontalité et l’autonomie, aux hectares de béton nous avons opposé une agriculture collective et populaire. Sur ces terres expropriées peu à peu par l’EPF avec de l’argent public, nous avons commencé à esquisser des perspectives pour des mondes nouveaux tous bien plus réjouissants que des séries de hangars industriels.
Nous souhaitons que ce mouvement continue !
Afin d’empêcher le projet maléfique et mortifère de Roger Pellenc il nous faut continuer à occuper le terrain, c’est pourquoi nous vous invitons tous et toutes à une grande journée de remise en culture sur les terres menacées de la ZAC de Pertuis. Rendez-vous le 27 novembre prochain à 14h au Rond-Point Jacques Herabian à Pertuis Semis de blé, grande fête et nombreuses surprises au programme !

Kaoutar Harchi mène dans ce livre une enquête autobiographique pour saisir, retranscrire au plus près cet état d’éveil, de peur et d ’excitation provoqué, dit-elle, "par la découverte que nous - jeunes filles et jeunes garçons identifiés comme musulmans, que nous le soyons ou pas d’ailleurs - étions perçus à l’aube des années 2000 par un ensemble d’hommes et de femmes comme un problème."
Un livre où l’amour filial et l’éveil de la conscience politique s’entremêlent dans une langue poétique et puissante.
Kaoutar Harchi est chercheuse en sociologie. Aux éditions Actes Sud elle a également publié L’Ampleur du saccage (2011) et À l’origine notre père obscur (2014). Chez Pauvert, en 2016, un essai intitulé Je n’ai qu’une langue, ce n’est pas la mienne.

💚❤️💛Dimanche 28 novembre : fête des 44 ans du Parti des travailleurs/travailleuses du Kurdistan.
Au programme : musique kurde ; prises de parole ; cinévision, stands...
Venez nombreuses et nombreux !
A partir de 13h
Adresse : 32 Boulevard Frédéric Sauvage 13014 Marseille

Assemblée ouverte
Collectif Solidarité Internationaliste Marseille Kurdistan
"La lutte des peuples du Rojava a attiré l’attention du monde entier au cours des 10 dernières années. Au milieu des conflits, des crises et des guerres au Moyen-Orient, un projet alternatif exemplaire se réalise au Kurdistan occidental et au nord-est de la Syrie.
Les habitant-es de la région ont résisté à l’oppression, libéré leur terre de l’occupation contre Daech. Les régions d’Efrîn, Serêkaniyê et Girê Spî ont été envahies et occupées par l’Etat turc et des menaces de nouvelles attaques sont proférées quotidiennement. En outre, l’eau des principales lignes d’approvisionnement et des rivières de la région est coupée et un concept de guerre spéciale est mis en œuvre contre le Rojava pour provoquer des troubles, des crises et des conflits dans les régions de l’administration autonome. Malgré tout cela, le Rojava a prouvé que même dans les conditions les plus difficiles, il est possible de construire des vies libres, dignes et de nos propres mains."
À Marseille, où une importante communauté kurde est présente, la solidarité internationale s’organise aussi depuis plusieurs années, que ce soit en participant aux différentes actions et manifestations, l’organisation de conférences, débats, projections, festival, stands etc.
Dans ce contexte nous appelons toutes les personnes, activistes, militant-es, sympathisantes, socialistes, révolutionnaires, internationalistes à participer à l’Assemblée du collectif Solidarité Internationaliste Marseille Kurdistan, ce sera l’opportunité de faire un point sur la situation, les actions de solidarité en cours, les projets à venir et de construire et lutter ensemble !
Rendez-vous mardi 30 novembre à 19h à La Dar, Centre Social Autogéré
127 rue d’Aubagne à Marseille / Métro Notre Dame du Mont