Agenda
Nous ne serons pas les gabians de la farce !
📣 📣Prochaine Assemblée Générale Interpro📣 📣
💥 mercredi 01 novembre - 18h30 au local mille bâbords, 61 rue consolat
💥 Mercredi 22 novembre 18h30 au local mille bâbords, 61 rue consolat
Tract d’organisation en Pièce jointe :
Même hors des mouvements sociaux, il est impératif de garder des espaces d’organisation ouverts. Ras-le-bol que la lutte politique se réduise à de sages manifestations unitaires, incapables d’empêcher la détérioration de nos conditions de vie !
Pourquoi s’organiser hors mouvement ?
1. Se défendre : les attaques contre nos conditions de vie continuent (retraites, RSA,
intermittence, chômage, inflation...)
2. Garder une capacité d’action et d’initiative, sans dépendre des grandes décisions
syndicales. Construisons des actions depuis les bases locales. Choisissons nos
modalités de lutte, nos stratégies, nos alliés !
3. Poser un rapport de force qui ne découle pas uniquement de l’agenda politique.
Parce que 3,5 millions de personnes dans la rue n’ont pas suffi pour les retraites :
aujourd’hui, l’État ne recule même plus devant les mouvements de grande ampleur !
4. Construire un espace qui aura de la force et de la confiance pour participer aux
prochaines luttes et mouvements sociaux.
Comment on s’organise ?
On veut être un espace ouvert à tout le monde : syndiqué.es ou non, habitué.e des AG et du militantisme ou non, prêt.e à tout brûler ou juste à rencontrer du monde et t’informer...
Notre porte est ouverte à tous.
On veut être un espace horizontal : c’est collectivement qu’on choisit les points
que l’on abordera en AG, et c’est en AG qu’on décidera là où il faut frapper.
En bref, l’AG décide, les commissions proposent des plans d’actions, puis c’est
à nouveau à l’AG d’avoir le dernier mot.
Qu’est-ce que l’AG interpro a fait et veut faire ?
1. L’AG a participé et/ou organisé de nombreuses actions durant le mouvement
social de l’année passée : autorédution, blocages routiers, soutien aux
grévistes, péages gratuits, recouvrements d’institutions, blocages SNCF...
2. Elle souhaite proposer un espace pour lutter. Hors mouvement, nous sommes
esseulé.es, abandonné.es à notre rage. Pourtant, nos expériences de vie sont
collectives. Par exemple, les radiations du RSA ou de Pôle Emploi ne touchent
jamais qu’une seule personne. Ils veulent nous isoler, mais nous allons leur
répondre ensemble !
3. Solidarité et résistance face à la répression : l’AG peut permettre de
développer des stratégies de défense collective et de la solidarité entre tous.tes.
4. L’AGi est aussi un espace d’apprentissage et de politisation : viens trouver
les meilleurs arguments pour ton prochain dîner de famille, ton conseiller pôle
emploi/ employeur/collègue relou, les contrôleurs/ keufs/ vigiles...
Réunissons-nous
Brisons l’isolement
Discutons !
mercredi 01 novembre - 18h30 au local mille bâbords, 61 rue consolat
Mercredi 22 novembre 18h30 au local mille bâbords, 61 rue consolat
61 rue consolat
Vélorution mensuelle
Sous des températures devenues tardivement automnales, viens donc te réchauffer en nous rejoignant à la Vélorution, qui partira ce Vendredi 3 Novembre (chaque premier vendredi de chaque mois) à 20h30 de la Plaine (au niveau du Traquenard).
Sous le son de quelques musiques qui ont un lien direct ou non avec la bicyclette, nous t’invitons à pédaler d’une manière sécurisée (en autogestion) en se réappropriant les rues de Marseille qui s’étincellera sous nos klaxons et/ou slogans.
Et pour cela, sors donc ton plus beau vélo (ou tricycle, tandem ou autre engin qui roule sans essence), tes lumières qui feront rayonner cette ville, tes vêtements qui lui amèneront des couleurs chaudes et si tu le sens, tes pancartes qui planteront une graine dans le cerveau des passant.e.s.
La balade durera entre 1.5 et 2.5 heures avec au moins une pause. Elle est accessible à tous.te.s nos ami.e.s cyclistes, aussi bien celleux venu.e.s en cortèges familiaux que seul.e.s.
C’est quoi la Vélorution ?
La vélorution est un mouvement collectif qui consiste en une balade à vélo festive et engagée qui fait « masse critique ». Elle se déroule depuis 1992 à San Francisco à nos jours dans plus de 300 villes du monde entier.
La vélorution est un événement militant qui :
- lutte pour un développement massif des infrastructures pour les cyclistes (tels que le projet « Une autre voie » (https://vert.eco/wp-content/uploads/2023/09/UNE-AUTRE-VOIE_DOSSIER-RESUME-DU-PROJET-V-FINALE.pdf), première véloroute nationale proposée en alternative au projet de construction de l’autoroute A69 entre Toulouse et Castres) et contre la place accordée aux voitures en ville (ou ailleurs).
- permet la rencontre d’amoureux.se.s du vélo en s’appropriant les rues
- contribue au développement de l’utilisation de transports non polluants
Et à Marseille ?
A Marseille, la vélorution pédale depuis 2009 et rassemble plusieurs dizaines ou centaines de passionné.e.s du vélo. Elle se déroule le premier vendredi de chaque mois (rdv à la Plaine à 20h30). Bien que son parcours ne soit que rarement planifié d’avance, ces dernières années, elle s’est souvent finie au bord de la plage, dans un parc, sur une place ou aux alentours d’évènements militants. En 2024, Marseille accueillera la 11ème vélorution universelle (qui a réuni plusieurs centaines de cyclistes l’année dernière à Nantes). C’est pourquoi nous aimerions dès aujourd’hui réconcilier de nombreux.se.s Marseillai.s.e.s avec l’utilisation de ces bijoux écolos à pédales et de (re)découvrir le plaisir d’aller aussi loin que nos jambes nous portent. Et à Marseille, avant de pouvoir se sentir pousser des ailes sur notre bicylette d’une manière sereine, il y a de quoi faire… Entre le manque alarmant de pistes cyclables dans la 2è ville de France, trop souvent limitées aux quartiers les plus favorisés, les pistes cyclables envahies par les scooters, voitures ou trottinettes garées, les terrasses ou piéton.e.s. qui n’ont pas d’autres espaces à utiliser, ou encore les conduites dangereuses des automobilistes à notre égard, nos revendications sont nombreuses. Alors rejoignez-nous ! Ensemble, nous sommes plus fort.e.s !
Ni Dieu, Ni Maitre - Ni Pétrole, ni Lithium
Vive la Vélorution !
5 ans après les effondrements...
Du taudis au Airbnb. On n’en peut plus ! On n’en veut plus !
Pour nos morts, contre vos profits !
Interdisons Airbnb !
Et récupérons nos logements !
5 ans ont passé depuis les effondrements meurtriers de la rue d’Aubagne, le 5 novembre 2018. Ses 8 morts dans le 63 et 65 rue d’Aubagne effondrés. Et Zineb Redouane, le 1er décembre tuée par la police, dans nos manifestations pour honorer les morts, contre des années de politiques d’insalubrité, pour chasser Gaudin et son équipe d’assassins.
Et depuis ? 5 ans, ses 6 000 délogés, 800 bâtiments fermés par arrêtés de péril. Certains rouvrent, entièrement rénovés, mais seulement pour les touristes. Les promesses de relogement ? Rangées aux oubliettes.
5 ans déjà et, pendant que beaucoup d’entre nous continuent de croupir dans l’insalubrité, les loyers flambent, les conditions imposées par les agences sont de plus en plus délirantes. Tout le monde trinque, se loger est un enfer.
Retrouvons des logements décents et accessibles aux revenus des Marseillais .e.s,
détruisons Airbnb à Marseille.
Dimanche 5 novembre – 16h – Cours Julien
SPAAM anime un espace de permanence ouvert et accueillant chaque deux semaines, les 1er et 3ème dimanches du mois, de 17h30 à 19h30, à Manifesten, 59 rue Thiers, 13001 pour s’organiser ensemble autour du soin psycho-émotionnel, de l’auto-défense et l’anti-répression dans nos luttes.
Viens te poser, boire une tisane, consulter notre info-kiosque, partager des outils et ressources, cuisiner avec nous et partager un repas, discuter de soin anti-rep, de comment tu veux faire vivre le soin dans ton groupe/ta lutte/ta manif, ou de ce que tu vis.
On pourra réfléchir ensemble à tes potentiels besoins et comment SPAAM pourrait les accompagner.
59 rue Thiers, 13001 Marseille
La Coordination des actions anti-gentrification (la CAAG) invite à l’organisation d’une manifestation du 5 novembre offensive : « Du taudis au Airbnb : mal-logement ou délogement, on n’en peut plus, on n’en veut plus ! »
RDV Lundi 9 octobre 18h30 Manifesten 59 rue Thiers ...et chaque quinzaine !
A la coordination des luttes anti-gentrification, depuis une année, des collectifs et des habitant.e.s s’organisent et ripostent ! Charivari de conciergeries, perturbation de boitiers de remise de clés, certification « gentrificateur de merde » pour les commerces qui spéculent sur notre dos, invasion visuelle sur les murs du quartier, soutien aux occupations, jeu de piste et carnaval revendicatifs … Toute nouvelle bonne idée à sa place, tant qu’elle enraye le processus d’accaparation du logement.
Cette rentrée, face à l’ampleur du désastre, on passe à la vitesse supérieure. La coalition du printemps marseillais, a été élue sous la promesse d’un changement au printemps 2020, à la tête d’une ville endeuillée par les effondrements de la rue d’Aubagne le 5 novembre 2018 et par des années de politiques d’insalubrité. Mais les délogements s’accélèrent : après le péril par l’argent.
La coordination invite toutes celles et ceux qui se sentent concernés à la rejoindre, à partir de lundi 9 octobre 18h30 à Manifesten (59 rue Thiers), et chaque quinzaine, pour organiser le 5 novembre prochain la manifestation du grand ras-le-bol. Et lancer un mouvement d’ampleur, avec pour objectifs : reprendre nos logements, mettre à mort Airbnb à Marseille.
59 rue Thiers
1a rue esperandieu, 13001, Marseille
59 rue Thiers
A partir du lundi 16 octobre, puis à fréquence de 15 jours, rejoins la coordination contre les Jeux Olympiques, alors qu’une partie des épreuves se déroulera à Marseille à l’été 2024.
Face aux saccages budgétaires, écologiques et sociaux promis par les J.O 2024, à Marseille comme à Paris, ces réunions sont d’ores et déjà l’occasion d’organiser des Contre-J.O du 17 au 19 novembre 2023.
Coups de main logistique (affichage, bars, son et groupes de musique, relais aux stand, récup de matos) et propositions d’activités et d’anti-jeux pour petits et grands sont bienvenus : en écrivant à marscontre-jo@riseup.net
Ce week-end du 17-19 novembre est la 1ère étape d’un relais de flammes, de mobilisations, d’actions et de perturbations contre la tenue des JO à l’été 2024 dans notre ville.
Comme à chaque fois que les Jeux Olympiques s’invitent -Turin 2006, Rio 2016, ceux de Paris 2024 laissent déjà dans leur sillage leur lot de travailleurs et travailleuses précaires et exploités sur les chantiers, de logements vidés, d’espaces publics et naturels privatisés et militarisés, d’expérimentations de dispositifs sécuritaires tournés contre la population, d’équipements inutiles et surfacturés qui devraient, comme souvent, être abandonnés moins d’un an après l’événement.
Tandis qu’à Marseille, plusieurs dizaines de millions d’euros ont été versés par la mairie et le département, pour abonder au seul budget de la « Marina », le nouveau stade nautique du 8ème arrondissement -destiné aux épreuves de voile, les associations sportives et les équipements publics accessibles à toutes et tous restent en souffrance, dans le centre-ville comme dans les quartiers nord.
Car, en réalité, le spectacle déprimant de ces épreuves sportives, fondées sur la mise en compétition, ne bénéficient pas à la population, mais sert avant tout les intérêts d’une gouvernance financière opaque : du directeur du comité d’organisation des Jeux, au centre d’une enquête pour détournement de fonds publics depuis juin dernier , aux principaux partenaires des JO 2024, en première ligne Vinci Construction et Airbnb, qui devraient profiter de principales retombées financières de l’événement : plusieurs milliards !
Décisions prises en l’absence de tout débat démocratique, il leur importe peu les impacts de la pression touristique, dont la spéculation délirante sur les locations saisonnières, qui pèse déjà sur le niveau de vie et les logements des Marseillais-e-s. Et alors que l’inflation nous accule toujours plus, nous voyons tomber des millions d’euros sous notre nez, à côté de chez nous, mais pas pour nous.
Récupérons l’argent des J.O !
Défendons les espaces que l’on habite, où l’on se rencontre, s’entraide et s’amuse (vraiment) !
59 rue Thiers 13001 Marseille
Face aux saccages budgétaires, écologiques et sociaux promis par les J.O 2024, à Marseille comme à Paris, rejoins nous sur la plaine du 17 au 19 novembre pour la 1ère étape d’un relais de flammes, de mobilisations, d’actions et de perturbations contre la tenue des JO à l’été 2024 dans notre ville !
On commence tranquillement par un weekend de convivialité, de partage d’infos et de rencontre. Au programme boxe🥊 , foot⚽, jeux pour tous les aĝes🔫, concerts 🎤, bar 🍻, cantine🌯 , projections , sérigraphie et stands informatifs .
L’argent récolté ira à la Legal Team pour soutenir les personnes victime de répression. Une partie ira à la coordination contre les JO de Marseille pour financer la mobilisation et les futures actions 🔥
SPAAM anime un espace de permanence ouvert et accueillant chaque deux semaines, les 1er et 3ème dimanches du mois, de 17h30 à 19h30, à Manifesten, 59 rue Thiers, 13001 pour s’organiser ensemble autour du soin psycho-émotionnel, de l’auto-défense et l’anti-répression dans nos luttes.
Viens te poser, boire une tisane, consulter notre info-kiosque, partager des outils et ressources, cuisiner avec nous et partager un repas, discuter de soin anti-rep, de comment tu veux faire vivre le soin dans ton groupe/ta lutte/ta manif, ou de ce que tu vis.
On pourra réfléchir ensemble à tes potentiels besoins et comment SPAAM pourrait les accompagner.
59 rue Thiers, 13001 Marseille
La Coordination des actions anti-gentrification (la CAAG) invite à l’organisation d’une manifestation du 5 novembre offensive : « Du taudis au Airbnb : mal-logement ou délogement, on n’en peut plus, on n’en veut plus ! »
RDV Lundi 9 octobre 18h30 Manifesten 59 rue Thiers ...et chaque quinzaine !
A la coordination des luttes anti-gentrification, depuis une année, des collectifs et des habitant.e.s s’organisent et ripostent ! Charivari de conciergeries, perturbation de boitiers de remise de clés, certification « gentrificateur de merde » pour les commerces qui spéculent sur notre dos, invasion visuelle sur les murs du quartier, soutien aux occupations, jeu de piste et carnaval revendicatifs … Toute nouvelle bonne idée à sa place, tant qu’elle enraye le processus d’accaparation du logement.
Cette rentrée, face à l’ampleur du désastre, on passe à la vitesse supérieure. La coalition du printemps marseillais, a été élue sous la promesse d’un changement au printemps 2020, à la tête d’une ville endeuillée par les effondrements de la rue d’Aubagne le 5 novembre 2018 et par des années de politiques d’insalubrité. Mais les délogements s’accélèrent : après le péril par l’argent.
La coordination invite toutes celles et ceux qui se sentent concernés à la rejoindre, à partir de lundi 9 octobre 18h30 à Manifesten (59 rue Thiers), et chaque quinzaine, pour organiser le 5 novembre prochain la manifestation du grand ras-le-bol. Et lancer un mouvement d’ampleur, avec pour objectifs : reprendre nos logements, mettre à mort Airbnb à Marseille.
59 rue Thiers
Nous ne serons pas les gabians de la farce !
📣 📣Prochaine Assemblée Générale Interpro📣 📣
💥 mercredi 01 novembre - 18h30 au local mille bâbords, 61 rue consolat
💥 Mercredi 22 novembre 18h30 au local mille bâbords, 61 rue consolat
Tract d’organisation en Pièce jointe :
Même hors des mouvements sociaux, il est impératif de garder des espaces d’organisation ouverts. Ras-le-bol que la lutte politique se réduise à de sages manifestations unitaires, incapables d’empêcher la détérioration de nos conditions de vie !
Pourquoi s’organiser hors mouvement ?
1. Se défendre : les attaques contre nos conditions de vie continuent (retraites, RSA,
intermittence, chômage, inflation...)
2. Garder une capacité d’action et d’initiative, sans dépendre des grandes décisions
syndicales. Construisons des actions depuis les bases locales. Choisissons nos
modalités de lutte, nos stratégies, nos alliés !
3. Poser un rapport de force qui ne découle pas uniquement de l’agenda politique.
Parce que 3,5 millions de personnes dans la rue n’ont pas suffi pour les retraites :
aujourd’hui, l’État ne recule même plus devant les mouvements de grande ampleur !
4. Construire un espace qui aura de la force et de la confiance pour participer aux
prochaines luttes et mouvements sociaux.
Comment on s’organise ?
On veut être un espace ouvert à tout le monde : syndiqué.es ou non, habitué.e des AG et du militantisme ou non, prêt.e à tout brûler ou juste à rencontrer du monde et t’informer...
Notre porte est ouverte à tous.
On veut être un espace horizontal : c’est collectivement qu’on choisit les points
que l’on abordera en AG, et c’est en AG qu’on décidera là où il faut frapper.
En bref, l’AG décide, les commissions proposent des plans d’actions, puis c’est
à nouveau à l’AG d’avoir le dernier mot.
Qu’est-ce que l’AG interpro a fait et veut faire ?
1. L’AG a participé et/ou organisé de nombreuses actions durant le mouvement
social de l’année passée : autorédution, blocages routiers, soutien aux
grévistes, péages gratuits, recouvrements d’institutions, blocages SNCF...
2. Elle souhaite proposer un espace pour lutter. Hors mouvement, nous sommes
esseulé.es, abandonné.es à notre rage. Pourtant, nos expériences de vie sont
collectives. Par exemple, les radiations du RSA ou de Pôle Emploi ne touchent
jamais qu’une seule personne. Ils veulent nous isoler, mais nous allons leur
répondre ensemble !
3. Solidarité et résistance face à la répression : l’AG peut permettre de
développer des stratégies de défense collective et de la solidarité entre tous.tes.
4. L’AGi est aussi un espace d’apprentissage et de politisation : viens trouver
les meilleurs arguments pour ton prochain dîner de famille, ton conseiller pôle
emploi/ employeur/collègue relou, les contrôleurs/ keufs/ vigiles...
Réunissons-nous
Brisons l’isolement
Discutons !
mercredi 01 novembre - 18h30 au local mille bâbords, 61 rue consolat
Mercredi 22 novembre 18h30 au local mille bâbords, 61 rue consolat
61 rue consolat
La bibliothèque Nulle Part Ailleurs renaît de ses cendres ! Et pas nulle part mais bien installée sur la mezzanine de la Dar : c’est l’occasion d’emprunter des livres, mais pourquoi pas aussi des temps de discussion, de zonage et d’arpentage.
On vous invite pour notre premier événement public le 23 novembre à 19h30, à la Dar (127 rue d’Aubagne, 13001 Marseille) pour y lire ou y entendre des mots choisis par un peu tout le monde, enfin celleux qui voudront, mis en musique et tout. Pas besoin d’être un grand tribun ou une incroyable oratrice, rapporte juste ton extrait de roman préféré, une petite annonce qui t’a fait rire ou une carte postale que tu gardes au fond d’une boîte à trucs, ou viens juste déguster du pop-corn.
127 rue d’Aubagne
Manifestation contre les violences faites aux femmes appelée par le mouvement des femmes kurdes
Nous vous donnons donc rendez-vous à partir de 16h00 sous l’Ombrière du Vieux Port pour un rassemblement avec :
des animations/informations pour petit.e.s et grand.e.s
un espace garderie géré par le collectif la Bulle
Puis à partir de 18h00 pour le départ en manifestation :
prises de parole traduites en langue des signes française au départ et pendant le parcours
char enfants et cortège de poussettes (toujours avec la Bulle)
accessibilité PMR
cortège de tête sans mec cis
dress code noir
groupe sécu et groupe care tout au long du parcours pour que tout se passe le plus safe possible !
Egalement un die-in va être organisé par l’association Nous toustes Marseille et si vous voulez participer vous pouvez vous inscrire ici : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSeMjUMZiJH6N8f_iZVAiGFly2MrVLF66tmC9jPeDCtZgNNA-w/viewform
Nous vous donnons donc rendez-vous à partir de 16h00 sous l’Ombrière du Vieux Port pour un rassemblement avec :
des animations/informations pour petit.e.s et grand.e.s
un espace garderie géré par le collectif la Bulle
Puis à partir de 18h00 pour le départ en manifestation :
prises de parole traduites en langue des signes française au départ et pendant le parcours
char enfants et cortège de poussettes (toujours avec la Bulle)
accessibilité PMR
cortège de tête sans mec cis
dress code noir
groupe sécu et groupe care tout au long du parcours pour que tout se passe le plus safe possible !
Egalement un die-in va être organisé par l’association Nous toustes Marseille et si vous voulez participer vous pouvez vous inscrire ici : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSeMjUMZiJH6N8f_iZVAiGFly2MrVLF66tmC9jPeDCtZgNNA-w/viewform
Manifestation de soutien au peuple palestinien
Projection du film "un racisme a peine voilé" suivi d’une discussion. En présence des camarades de la riposte antifasciste et de la librairie Transit.
127 rue d’Aubagne
Pour réfléchir ensemble à nos moyens d’actions et à notre dynamique pour la vie tant la vie des écosystèmes (une vingtaine d’hectares de terres agricoles sacrifiées), que celle des humains (ceux qui vont être enfermés et celles et ceux qui vont subir la taule de dehors), nous vous donnons RDV le lundi 27 novembre
à midi, sur place
à la ZAC du Plan
Après un pique-nique, nous ferons une Assemblée Générale pour mettre en place les activités de l’après-midi et des mois à venir. Vous êtes invité.e.s à venir avec de quoi partager un repas,
des pancartes, des vieux draps, de la peinture, de la ficelle ou juste vous et toute votre énergie.
A partir du lundi 16 octobre, puis à fréquence de 15 jours, rejoins la coordination contre les Jeux Olympiques, alors qu’une partie des épreuves se déroulera à Marseille à l’été 2024.
Face aux saccages budgétaires, écologiques et sociaux promis par les J.O 2024, à Marseille comme à Paris, ces réunions sont d’ores et déjà l’occasion d’organiser des Contre-J.O du 17 au 19 novembre 2023.
Coups de main logistique (affichage, bars, son et groupes de musique, relais aux stand, récup de matos) et propositions d’activités et d’anti-jeux pour petits et grands sont bienvenus : en écrivant à marscontre-jo@riseup.net
Ce week-end du 17-19 novembre est la 1ère étape d’un relais de flammes, de mobilisations, d’actions et de perturbations contre la tenue des JO à l’été 2024 dans notre ville.
Comme à chaque fois que les Jeux Olympiques s’invitent -Turin 2006, Rio 2016, ceux de Paris 2024 laissent déjà dans leur sillage leur lot de travailleurs et travailleuses précaires et exploités sur les chantiers, de logements vidés, d’espaces publics et naturels privatisés et militarisés, d’expérimentations de dispositifs sécuritaires tournés contre la population, d’équipements inutiles et surfacturés qui devraient, comme souvent, être abandonnés moins d’un an après l’événement.
Tandis qu’à Marseille, plusieurs dizaines de millions d’euros ont été versés par la mairie et le département, pour abonder au seul budget de la « Marina », le nouveau stade nautique du 8ème arrondissement -destiné aux épreuves de voile, les associations sportives et les équipements publics accessibles à toutes et tous restent en souffrance, dans le centre-ville comme dans les quartiers nord.
Car, en réalité, le spectacle déprimant de ces épreuves sportives, fondées sur la mise en compétition, ne bénéficient pas à la population, mais sert avant tout les intérêts d’une gouvernance financière opaque : du directeur du comité d’organisation des Jeux, au centre d’une enquête pour détournement de fonds publics depuis juin dernier , aux principaux partenaires des JO 2024, en première ligne Vinci Construction et Airbnb, qui devraient profiter de principales retombées financières de l’événement : plusieurs milliards !
Décisions prises en l’absence de tout débat démocratique, il leur importe peu les impacts de la pression touristique, dont la spéculation délirante sur les locations saisonnières, qui pèse déjà sur le niveau de vie et les logements des Marseillais-e-s. Et alors que l’inflation nous accule toujours plus, nous voyons tomber des millions d’euros sous notre nez, à côté de chez nous, mais pas pour nous.
Récupérons l’argent des J.O !
Défendons les espaces que l’on habite, où l’on se rencontre, s’entraide et s’amuse (vraiment) !
59 rue Thiers 13001 Marseille