Agenda
Soyons nombreus.e.x mercredi 2 mars prochain au 100 rue de la République puis devant la préfecture pour soutenir les habitant.e.s dans leur lutte pour un logement digne et pérenne !
MISE A JOUR :
[Les habitant.e.s ont préféré annuler le rassemblement de demain. iels ont envoyé un courrier a la préfecture, la mairie et le propriétaire UNICIL, demandant à être reçu.e.s.
Iels préfèrent laisser un délai supplémentaire de réponse.
Un autre rassemblement peut etre prévu mercredi 9 mars en cas de silence de leur part.
Restez aux aguets, nous vous tiendront informé.e.s !]
100 rue de la République
13002 Marseille
CAMPAGNE INTERNATIONALE POUR LA COORDINATION ANTI-AUTORITARE ET ANTIFASCISTE EN UKRAINE
Soutenir le Comité de Résistance
Compte : UGMR
IBAN : DE57 4306 0967 1216 4248 00
BIC : GENODEM1GLS
GLS GEMEINSCHAFTSBANK EG
Note : Ukraine
Lors des manifestations de Maidan (2013-2014) qui ont renversé le président Viktor Ianoukovitch, les camarades anarchistes et antifascistes d’Ukraine avaient contesté la corruption et l’autoritarisme du gouvernement de l’époque au côté d’une majorité hétéroclite de la population ukrainienne.
Ensuite l’escalade : la montée des nationalismes de tout bord a abouti au conflit armé du Donbass depuis 2014, qui a fait plus de 14 000 morts et des dizaines de milliers d’exilés. Le mouvement de Maidan s’est disloqué et extrême-droitisé sous l’effet des paramilitaires nationalistes. Les tendances de gauche y ont été marginalisées. Les libéraux ont tiré parti de ce contexte et ont accédé au pouvoir. On peut parler de révolution volée.
Sous le régime ukrainien actuel, la répression des groupes de gauche s’est poursuivie à travers la police politique et les attaques des fascistes. Dans le Donbass, la police de Poutine a menacé, torturé et emprisonné de nombreux opposants anarchistes et antifascistes, comme elle le fait en Russie.
Aujourd’hui, avec l’entrée de l’armée russe en Ukraine, nos camarades contestent plus que jamais les impasses nationalistes et impérialistes qui entravent tout mouvement d’émancipation sociale et politique. Si le capitalisme sauvage ne les fait pas plus rêver que l’autocratie de Poutine, rien n’est possible sous les feux de la guerre. Sous les feux de la guerre par l’une des plus puissantes armées du monde, aguerrie en Syrie, l’urgence des individus est à la survie et à la défense de sa propre vie. Pour elles et eux, l’autodéfense est un droit inaliénable.
C’est pourquoi notre soutien va à nos camarades qui subissent directement les guerres des puissances, qu’elles soient commanditées par l’Otan ou par des oligarques russes milliardaires.
Tandis que leur escalade militaire produit de nouvelles folies meurtrières, le mouvement pour la paix ne peut pas se faire dans l’ombre de l’une ou l’autre des grandes puissances qui poursuivent leurs propres intérêts géopolitiques et qui ne cessent d’alimenter les braises meurtrières. Leur paix n‘existe pas, notre mouvement contre la guerre n’existe que s’il est international.
Rendez-vous ce vendredi 4 mars à 14h au SNACK pour apprendre à contribuer à une carte de la vidéosurveillance, tout en finalisant de cartographier quelques zones alentours avec une petite balade.
La stratégie sécuritaire qui anime l’administration de la ville, quelle que soit sa couleur politique (lire par exemple ici), a engendré le développement de ces trop nombreuses caméras qui nous entourent. Elles participent à façonner la vie policée et policière que la mairie de Marseille aimerait nous voir définitivement adopter.
Grâce à OpenStreetMap il est possible de renseigner leur emplacement, et depuis plusieurs années de nombreuses personnes ont contribué à ce travail. Le résultat est notamment visible ici.
Nous vous donnons rendez-vous ce vendredi 4 mars à 14h au SNACK pour apprendre à y contribuer, tout en finalisant de cartographier quelques zones alentours avec une petite balade.
Il est prévu un temps de discussion avant et après la sortie, la fin est prévue max 18h.
Si vous le pouvez, ramenez :
un ordinateur pour saisie finale des infos au retour de la promenade
un smartphone avec connexion internet (pour aider pendant la promenade, et pour partage de connexion à l’ordi après)
autrement du papier et un stylo suffisent
Rue Espérandieu
50 rue consolat
Après une première réunion dimanche dernier, nous appelons à une réunion d’organisation du 8 mars à Marseille ce dimanche 6 février à 17h au local de Solidaires (29, boulevard Longchamp). Cette réunion se tiendra en mixité choisie (sans hommes cis, soit une personne qui se reconnait au genre assigné à la naissance).
Parce que, depuis plusieurs années, les extrêmes droites et les néolibéraux s’emparent de discours "féministes" pour justifier de politiques profondément racistes et islamophobes. Parce que les situations de précarité économiques augmentent à travers la destruction des droits et des acquis sociaux. Les trans, lesbiennes et bi.e.s, travailleur.euse.s du sexe, migrant.e.s, sans papiers, handicapé.e.s, victimes du racisme, chomeur.euse.s et précaires sont particulièrement exploité.e.s au travail en occupant des emplois difficiles et moins bien payés. Parce que cette précarité économique aggrave les violences déjà subies, car nous manquons d’autonomie nécessaire pour nous protéger de ces violences, qu’elles aient lieu dans le foyer, ou au travail.
Nous devons construire un mouvement féministe fort, autonome et auto-organisé pour lutter contre une société patriarcale, capitaliste, raciste, antisémite, islamophobe, LGBTQIAP+ phobe, putophobe, validiste, psychophobe et chercher à construire une société féministe, égalitaire et solidaire de tous.te.s.
À Marseille, la présence du collectif Nemesis, se définissant comme féministe identitaire, incarne la récupération de discours féministes dans des discours d’extrême droite, doit nous faire prendre conscience de l’importance de lier nos luttes féministes aux luttes antifascistes et antiracistes. Pour cela, il nous semble nécessaire de recréer des liens durables entre nos organisations, collectifs, associations de quartier aux luttes diverses. Il nous semble que cet objectif se concrétise également à travers l’organisation et la construction d’expériences militantes communes. Ainsi, et suite à l’invitation du collectif Marseille Féministe à prendre sa suite, nous invitons à une réunion de coordination en vue de l’organisation de la journée du 8 mars.
29 boulevard Longchamp, 13001, Marseille
Nous proposons un moment de lancement de la cagnotte le dimanche 6 mars à 18:00 heures à Manifesten : pour se retrouver, discuter autour d’une petite table d’info,d’un verre, d’une bouffe à partager et si ya l’envie un film ou un documentaire centré sur la situation en Ukraine seront même à disposition.
Rue Thiers
Rendez - vous le Lundi 7 Mars pour une séance de Cinéma Féministe à l’occasion de la Journée Internationale de Lutte pour les Droits des Femmes et Minorités de Genre du 8 Mars 2022 à Marseille !
En partenariat avec le bar cinéma Le Vidéodrome 2 (https://www.facebook.com/videodromedeux / https://www.videodrome2.fr/),
6 courts métrages féministes sont au programme.
Un temps de discussion et d’échange avec les réalisateurices présent.e.s sera également mis en place.
Entrée à Prix Libre - L’argent récolté servira à l’organisation du 8 Mars 2022.
RÉSISTER, S’ORGANISER, VIVRE LIBRE !
De Rosa jusqu’à Sara, nous marcherons aux rythmes et aux couleurs des femmes du monde, à la lumière du Confédéralisme Démocratique.
Contre les féminicides, les viols, les violences physiques, contre tous les types de violence et la non reconnaissance de la force du travail des femmes, nous sortirons dans la rue sous la bannière “Il est temps de protéger les femmes libres et la société libre”.
En résistant et en s’organisant nous pourrons créer une vie libre, ensemble !
Nous vous invitons à notre manifestation le 8 mars. Nous vous invitons à venir avec vos banderoles, vos revendications et votre détermination à la lutte. Nous souhaitons marcher ensemble, avec nos différences car elles sont la preuve que nous sommes plurielles.
Rassemblement 13h à Réformé-Canebière et départ de la manifestation 14h30 en direction du Vieux Port, là où nos camarades, soeurs et amies seront aussi présente avec des stands d’informations, des jeux, de la musiques, de la danses.
Partageons ensemble cette journée de grève internationale des femmes !!
Dans le cadre de la Journée Internationale de Lutte pour les Droits des Femmes et Minorités de Genre, une Zone d’Occupation Féministe précèdera la Marche.
Le 8 mars 2022, au plein cœur des élections présidentielles, doit rendre visible la puissance de nos luttes, notre refus des mesures sécuritaires, racistes, islamophobes de plus en plus nombreuses, de plus en plus banalisées par les médias dominants. Le 8 mars 2022, faisons grève sur les lieux de travail, dans les foyers, dans les écoles et les universités !
Depuis plusieurs années, les extrêmes droites et les néolibéraux s’emparent des discours "féministes" pour justifier de politiques profondément racistes et islamophobes. On a vu récemment le gouvernement français interdire le port du voile pour les femmes lors des compétitions sportives sous couvert de libération et de lutte contre le soi disant "séparatisme religieux". Parce que le patriarcat et le capitalisme ne nous libère jamais, nous devons réitérer la nature antiraciste et antifasciste de nos luttes.
Le Covid-19, en confinant la vie de tous.tes aux foyers, a été largement défavorable aux femmes qui ont été plongés dans plus de précarité et moins d’autonomie. En effet, un grand nombre d’entre elles se sont vu quitter leur emploi pour se consacrer à la garde de leurs enfants. Aussi la crise du Covid 19 a exposé davantage les femmes aux violences conjugales. Nous voyons également, à travers les mesures sanitaires répressives, une augmentation de la violence d’état avec une augmentation des violences policières dans les quartiers touchés le plus par la pauvreté et l’isolement.
Cette crise a aussi abimé nos liens de luttes féministes, la puissance de nos collectifs, les relations sociales qui sont nécessaires à l’émergence d’une force féministe massive. Mais la crise a également montré l’hypocrisie du gouvernement qui a valorisé soudainement l’importance vitale des soignantes, alors que celles-ci comme tous les métiers majoritairement féminins sont invisibilisés depuis toujours. Le gouvernement français a loué leur courage alors que celles-ci demandaient surtout des meilleures conditions de travail depuis de nombreuses années. Malgré cela, la crise nous a donc tout de fois montré que ces métiers du soin sont plus qu’indispensable dans une société.
En plus de cette crise, les situations de précarité économiques augmentent toujours plus, à travers la destruction des droits et des acquis sociaux menées par des gouvernements libéraux. Les trans, lesbiennes et bi.e.s, travailleur.euse.s du sexe, migrant.e.s, sans papiers, handicapé.e.s, victimes du racisme, de l’antisémitisme, de la négrophobie, de l’islamophobie, chomeur.euse.s et précaires sont particulièrement exploité.e.s au travail en occupant des emplois difficiles et moins bien payés. Cette précarité économique aggrave les violences déjà subies, car nous manquons d’autonomie nécessaire pour nous protéger de ces violences, qu’elles aient lieu dans le foyer, ou au travail. Pour toutes ces raisons, nous devons construire un mouvement féministe fort, autonome et auto-organisé pour lutter contre une société patriarcale, capitaliste, raciste, négrophobe, antisémite, islamophobe, LGBTQIAP+ phobe, putophobe, validiste, psychophobe et chercher à construire une société féministe, égalitaire et solidaire de tous.te.s. Afin de se mobiliser collectivement et dans l’objectif de se mettre massivement en grève en mars 2023, nous appelons cette année déjà à cette grève féministe - cessons tout travail productif et domestique, rétribué et gratuit !
À Marseille, la présence du collectif Nemesis, se définissant comme féministe identitaire, incarne la récupération de discours féministes dans des discours d’extrême droite, doit nous faire prendre conscience de l’importance de lier nos luttes féministes aux luttes antifascistes et antiracistes. Pour cela, il nous semble nécessaire de recréer des liens durables entre nos organisations, collectifs, associations de quartier aux luttes diverses. Il nous semble que cet objectif se concrétise également à travers l’organisation et la construction d’expériences militantes communes.
Coordination Marseille8Mars
Signataires :
- Syndicat ASSO - Section 13
- Filles de Blédards
- BDS Provence
- Collectif Marseille Gaza Palestine
- Coeur de Cagoles
- Les Déchaîné·e·s
- Association Transat
- T-Time
- La Fame 13 https://www.instagram.com/lafame13/
- Résistance à l’Agression Publicitaire - Marseille
- Collages Feministes Marseille
- Solidaires Étudiant.e.s Aix Marseille
- Union Syndicale Lycéenne des Bouches du Rhône / USL 13
- Plein le dos
- FUIQP Marseille
- Collectif du 5 novembre : Noailles en colère
Causerie mensuelle Technopolice Marseille
59 rue Thiers 13001 Marseille
Rencontre avec Fania Noël à l’occasion de la sortie de son livre Et maintenant le pouvoir. Un horizon politique Afroféministe, paru aux éditions Cambourakis.
Membre du collectif Mwasi, cofondatrice de la revue AssiégéEs, Fania Noël est une des militantes qui ont lancé le mouvement afroféministe en France dans les années 2010. Dans Et maintenant le pouvoir, elle déploie le corpus théorique des féminismes Noirs et aborde des thématiques telles que la famille, la misogynoir, l’intersectionnalité, le néolibéralisme ou encore l’écologie. Puisant parfois ses exemples dans la pop culture ou analysant le traitement médiatique de certains faits divers, cet essai au style offensif dont les femmes Noires sont le sujet politique est une proposition afroféministe radicale pour toutes les conditions subalternes. Une réflexion qui ne vient ni demander ni réclamer, mais qui veut notifier un projet dont l’objectif est de faire advenir un monde nouveau, débarrassé des systèmes de domination.
96 RUE ST SAVOURNIN
Face aux expulsions prochaines de la ZAP de Pertuis, organisons-nous !
Rendez vous lundi 14 mars à 18h30 à Manifesten
59 rue Adolphe Thiers
Parce que partout les conditions de vie des mineurEs isoléEs, des adultes et des familles en situation de migration continuent de se dégrader.
Rencontrons et soutenons ce collectif marseillais qui se bat aux cotés de jeunes migrantEs pour l’obtention de leurs droits, des conditions d’accueil et des logements dignes pour touTES !
59 rue Thiers 13001 Marseille
FestiCités , c’est 15 jours d’animation sur tout le territoire , avec un lancement à Vitrolles et un grand événement festif à Marseille pour clore cette quinzaine de la transition !
Ce festival a pour objectif de sensibiliser le plus grand nombre aux enjeux du changement climatique tout en mettant en lumière les alternatives et solutions existantes.
Sensibilisation au covid long
Devant la Mairie
À l’occasion des rencontres de l’Internationale des Fédérations Anarchistes, le groupe Germinal de la Fédération anarchiste organise une causerie au sujet de la situation des migrant·es et des différentes actions de soutien à travers les pays des personnes présentes (Italie, Grèce, Slovénie, Tchéquie, France, etc.).
127 rue d’Aubagne, 13006 Marseille
Appel à Manifestation le 23 mars à 15h30
Devant le squat évacué de 1 place Sadi Carnot
Devant le squat évacué de 1 place Sadi Carnot
Journée hommage à la Commune
Repas, concert DUBAMIX & Camarades
Carnaval paysan, bruyant et déterminé feat la Confédération Paysanne & les Soulèvements de la Terre.
La Plaine
Rue du Gourre d’Aure Pertuis
C’est le mois de mars, les beaux jours reviennent doucement et qui dit bon temps dit fin d’hibernation. Du coup on a bien envie que les fascistes et leurs idées retournent hiberner de leurs côtés ! Soyons nombreux.ses à se retrouver pour la troisième assemblée antifasciste de Marseille et ses environs.
Après une première assemblée le 23 janvier et une secondele 20 février, voici venu le temps d’une … troisième assemblée antifasciste.
La seconde assemblée a réuni une quarantaine de personnes, à la suite du partage d’un agenda antifasciste, un rassemblement contre le meeting de Reconquête au Prado s’est organisé pour le samedi 26/02.
Dans la continuité du mois de janvier des groupes de travail ont pu restituer leurs avancées. Au menu : les différentes forme de communications, une réflexion de fond « qu’est-ce que le fascisme ? » et le retour des derniers événements publics ainsi que des luttes des Hijabeuses.
Ces deux assemblées s’inscrivent dans la volonté commune de relancer les dynamiques des luttes antifascistes dans nos villes. Après s’être attaqué au CCIF (collectif contre l’islamophobie en France) et de Baraka City fin 2020, au Comité Action Palestine et au Collectif Palestine vaincra début mars 2022, le gouvernement continue de s’enfoncer dans la répression fascisante et a annoncé la dissolution du GALE (Groupe Antifasciste Lyon et Environs).
1A rue Espérandieu 13004
Réunion publique du Comité de soutien Marseillais à la ZAP de Pertuis - Mercredi 30 mars, 18h30, Manifesten
59 rue Thiers, 13001, Marseille