« Vous m’avez jugé comme vous avez jugé les bandits des Aurès », ainsi s’adressait Georges Ibrahim Abdallah lors de son procès en 1987. Aujourd’hui la convergence des luttes anti-impérialistes doit avoir comme moteur la mémoire des luttes de l’immigration et garder au point la force de la nécessaire exigence de libération des tous les camarades enfermés. C’est ensemble et qu’ensemble que nous vaincrons !
On vous attend nombreux autour d’un apéro dînatoire, de tables de presse, de films documentaires...
PAF libre pour le financement du trajet vers Lannemezan (Manif du samedi 21 octobre au départ de Marseille au centre pénitentiaire de Lannemezan où est détenu Georges Abdallah depuis 34 ans).