Agenda
La Coordination des actions anti-gentrification (la CAAG) invite à l’organisation d’une manifestation du 5 novembre offensive : « Du taudis au Airbnb : mal-logement ou délogement, on n’en peut plus, on n’en veut plus ! »
RDV Lundi 9 octobre 18h30 Manifesten 59 rue Thiers ...et chaque quinzaine !
A la coordination des luttes anti-gentrification, depuis une année, des collectifs et des habitant.e.s s’organisent et ripostent ! Charivari de conciergeries, perturbation de boitiers de remise de clés, certification « gentrificateur de merde » pour les commerces qui spéculent sur notre dos, invasion visuelle sur les murs du quartier, soutien aux occupations, jeu de piste et carnaval revendicatifs … Toute nouvelle bonne idée à sa place, tant qu’elle enraye le processus d’accaparation du logement.
Cette rentrée, face à l’ampleur du désastre, on passe à la vitesse supérieure. La coalition du printemps marseillais, a été élue sous la promesse d’un changement au printemps 2020, à la tête d’une ville endeuillée par les effondrements de la rue d’Aubagne le 5 novembre 2018 et par des années de politiques d’insalubrité. Mais les délogements s’accélèrent : après le péril par l’argent.
La coordination invite toutes celles et ceux qui se sentent concernés à la rejoindre, à partir de lundi 9 octobre 18h30 à Manifesten (59 rue Thiers), et chaque quinzaine, pour organiser le 5 novembre prochain la manifestation du grand ras-le-bol. Et lancer un mouvement d’ampleur, avec pour objectifs : reprendre nos logements, mettre à mort Airbnb à Marseille.
59 rue Thiers
Le vendredi 12 janvier nous recevrons nos camarades du collectif Dax resiste pour une projection du film « brucia ancora dentro », qui revient sur l’assassinat de Davide Caesare « Dax » par des néofascistes le 16 mars 2003 a Milan. La Dar, le 12 janvier à 18h.
Pour le retrait de la loi raciste portée par Darmanin et votée par l’extrême-droite, pour construire la mobilisation nationale du 14 janvier à Marseille, organisons-nous !
127, rue d’Aubagne - 13006 Marseille
Line up : Cuillère à caf’ (rap), Djane Prise (dj boum), SM6 (rap/electro /BTB)
Et boum ! Paye ton affiche rose !
On est un collectif féministe qui lutte contre l’inflation, les patrons et les mauvais darons.
On organise une boum à la Dar le 6 janvier de 16h à 22h. Pour le droit à la teuf !
Les meufs, les daronnes, leur potes et tous les minots sont les bienvenus !
Ramène ton goûter dînatoire
Entrée prix libre pour financer les affiches.
159 rue d’Aubagne - Marseille
A partir du lundi 16 octobre, puis à fréquence de 15 jours, rejoins la coordination contre les Jeux Olympiques, alors qu’une partie des épreuves se déroulera à Marseille à l’été 2024.
Face aux saccages budgétaires, écologiques et sociaux promis par les J.O 2024, à Marseille comme à Paris, ces réunions sont d’ores et déjà l’occasion d’organiser des Contre-J.O du 17 au 19 novembre 2023.
Coups de main logistique (affichage, bars, son et groupes de musique, relais aux stand, récup de matos) et propositions d’activités et d’anti-jeux pour petits et grands sont bienvenus : en écrivant à marscontre-jo@riseup.net
Ce week-end du 17-19 novembre est la 1ère étape d’un relais de flammes, de mobilisations, d’actions et de perturbations contre la tenue des JO à l’été 2024 dans notre ville.
Comme à chaque fois que les Jeux Olympiques s’invitent -Turin 2006, Rio 2016, ceux de Paris 2024 laissent déjà dans leur sillage leur lot de travailleurs et travailleuses précaires et exploités sur les chantiers, de logements vidés, d’espaces publics et naturels privatisés et militarisés, d’expérimentations de dispositifs sécuritaires tournés contre la population, d’équipements inutiles et surfacturés qui devraient, comme souvent, être abandonnés moins d’un an après l’événement.
Tandis qu’à Marseille, plusieurs dizaines de millions d’euros ont été versés par la mairie et le département, pour abonder au seul budget de la « Marina », le nouveau stade nautique du 8ème arrondissement -destiné aux épreuves de voile, les associations sportives et les équipements publics accessibles à toutes et tous restent en souffrance, dans le centre-ville comme dans les quartiers nord.
Car, en réalité, le spectacle déprimant de ces épreuves sportives, fondées sur la mise en compétition, ne bénéficient pas à la population, mais sert avant tout les intérêts d’une gouvernance financière opaque : du directeur du comité d’organisation des Jeux, au centre d’une enquête pour détournement de fonds publics depuis juin dernier , aux principaux partenaires des JO 2024, en première ligne Vinci Construction et Airbnb, qui devraient profiter de principales retombées financières de l’événement : plusieurs milliards !
Décisions prises en l’absence de tout débat démocratique, il leur importe peu les impacts de la pression touristique, dont la spéculation délirante sur les locations saisonnières, qui pèse déjà sur le niveau de vie et les logements des Marseillais-e-s. Et alors que l’inflation nous accule toujours plus, nous voyons tomber des millions d’euros sous notre nez, à côté de chez nous, mais pas pour nous.
Récupérons l’argent des J.O !
Défendons les espaces que l’on habite, où l’on se rencontre, s’entraide et s’amuse (vraiment) !
59 rue Thiers 13001 Marseille
AG Interpro 19h30
1 rue Espérandieu 13001 Marseille
1a rue esperandieu, 13001 Marseille
Manifestation à Marseille comme partout en France pour le retrait de la loi immigration, contre les politiques racistes, pour la régularisation et l’égalité de tou·te·s !
Place Jules-Guesde - 13003 Marseille
La Coordination des actions anti-gentrification (la CAAG) invite à l’organisation d’une manifestation du 5 novembre offensive : « Du taudis au Airbnb : mal-logement ou délogement, on n’en peut plus, on n’en veut plus ! »
RDV Lundi 9 octobre 18h30 Manifesten 59 rue Thiers ...et chaque quinzaine !
A la coordination des luttes anti-gentrification, depuis une année, des collectifs et des habitant.e.s s’organisent et ripostent ! Charivari de conciergeries, perturbation de boitiers de remise de clés, certification « gentrificateur de merde » pour les commerces qui spéculent sur notre dos, invasion visuelle sur les murs du quartier, soutien aux occupations, jeu de piste et carnaval revendicatifs … Toute nouvelle bonne idée à sa place, tant qu’elle enraye le processus d’accaparation du logement.
Cette rentrée, face à l’ampleur du désastre, on passe à la vitesse supérieure. La coalition du printemps marseillais, a été élue sous la promesse d’un changement au printemps 2020, à la tête d’une ville endeuillée par les effondrements de la rue d’Aubagne le 5 novembre 2018 et par des années de politiques d’insalubrité. Mais les délogements s’accélèrent : après le péril par l’argent.
La coordination invite toutes celles et ceux qui se sentent concernés à la rejoindre, à partir de lundi 9 octobre 18h30 à Manifesten (59 rue Thiers), et chaque quinzaine, pour organiser le 5 novembre prochain la manifestation du grand ras-le-bol. Et lancer un mouvement d’ampleur, avec pour objectifs : reprendre nos logements, mettre à mort Airbnb à Marseille.
59 rue Thiers
Intervention de Geneviève Pruvost, sociologue du travail et du genre au Centre d’étude des mouvements sociaux (EHESS) et Aurélien Berlan, philosophe-jardinier, enseignant chercheur à Toulouse.
Tout deux présenterons les idées et les analyses qu’ils développent dans leurs derniers ouvrages respectifs*, et qui explicitent le contenu politique des modes de vie mettant la subsistance au cœur de l’organisation collective et d’une conception de la liberté bien différente de celle promue par le capitalisme.
En préambule, à cette conférence/débat, Philémon, conteur passionné d’écologie et de féminisme, nous contera la "La vallée des gens heureux".
- Geneviève Pruvost : "Quotidien Politique" (2021) et « La subsistance au quotidien »
- Aurélien Berlan : "Terre et Liberté. La quête d’autonomie contre le fantasme de délivrance (2021)
93 la Canebière
13001 Marseille
Ce Jeudi 18 Janvier à 19h à Manifesten, le Labo des Terres et XR (Extinction Rebellion) organisent une réunion d’informations sur la lutte contre l’A69.
Au programme, il y aura la projection de 3 courts documentaires autour de cette lutte qui présenteront les grévistes de la faim, No Macadam et quelques écureuil.le.s.
Après, on reviendra sur les derniers mois de cette lutte depuis la fin de No Macadam et la création du Labo des Terres à aujourd’hui avec l’appel au Zbeul Autogéré Déter à la Crém’Arbre.
Et enfin, nous lancerons notre campagne nationale d’actions : le Grand Carnaval : Démasquons la Mafia69 !
Cette soirée est en soutien à une camarade accusée de dégradation qui passera en procès ce jour à Toulouse, et aux nombreux.ses autres inculpé.e.s.
Les dons récoltés seront reversés au Labo des Terres pour soutenir la lutte au quotidien.
59 rue Thiers
Alors que la précarisation s’accélère (la vie chère, France travail, réforme des retraites, du RSA, du chômage, loi Darmanin)
l’AG des précaires appelle à une mobilisation.
Rdv le vendredi 19 Janvier à 9h devant le portail de la Friche de la Belle de Mai.
Ramenez vos petits déj !
PAS DE GUERRE ENTRE PRECAIRES
RESTONS SOLIDAIRES ET ORGANISONS NOUS !
ag-precaires-marseille@protonmail.com
SPAAM (Soin Psycho-émotionnel Anti-répressif et Auto-défense Marseille) est né d’un besoin de création d’espaces de soutien psycho-émotionnel suite à l’accroissement de la répression policière et judiciaire dans la rue, les milieux militants et associatifs, ces derniers mois.
59 rue Thiers
A partir du lundi 16 octobre, puis à fréquence de 15 jours, rejoins la coordination contre les Jeux Olympiques, alors qu’une partie des épreuves se déroulera à Marseille à l’été 2024.
Face aux saccages budgétaires, écologiques et sociaux promis par les J.O 2024, à Marseille comme à Paris, ces réunions sont d’ores et déjà l’occasion d’organiser des Contre-J.O du 17 au 19 novembre 2023.
Coups de main logistique (affichage, bars, son et groupes de musique, relais aux stand, récup de matos) et propositions d’activités et d’anti-jeux pour petits et grands sont bienvenus : en écrivant à marscontre-jo@riseup.net
Ce week-end du 17-19 novembre est la 1ère étape d’un relais de flammes, de mobilisations, d’actions et de perturbations contre la tenue des JO à l’été 2024 dans notre ville.
Comme à chaque fois que les Jeux Olympiques s’invitent -Turin 2006, Rio 2016, ceux de Paris 2024 laissent déjà dans leur sillage leur lot de travailleurs et travailleuses précaires et exploités sur les chantiers, de logements vidés, d’espaces publics et naturels privatisés et militarisés, d’expérimentations de dispositifs sécuritaires tournés contre la population, d’équipements inutiles et surfacturés qui devraient, comme souvent, être abandonnés moins d’un an après l’événement.
Tandis qu’à Marseille, plusieurs dizaines de millions d’euros ont été versés par la mairie et le département, pour abonder au seul budget de la « Marina », le nouveau stade nautique du 8ème arrondissement -destiné aux épreuves de voile, les associations sportives et les équipements publics accessibles à toutes et tous restent en souffrance, dans le centre-ville comme dans les quartiers nord.
Car, en réalité, le spectacle déprimant de ces épreuves sportives, fondées sur la mise en compétition, ne bénéficient pas à la population, mais sert avant tout les intérêts d’une gouvernance financière opaque : du directeur du comité d’organisation des Jeux, au centre d’une enquête pour détournement de fonds publics depuis juin dernier , aux principaux partenaires des JO 2024, en première ligne Vinci Construction et Airbnb, qui devraient profiter de principales retombées financières de l’événement : plusieurs milliards !
Décisions prises en l’absence de tout débat démocratique, il leur importe peu les impacts de la pression touristique, dont la spéculation délirante sur les locations saisonnières, qui pèse déjà sur le niveau de vie et les logements des Marseillais-e-s. Et alors que l’inflation nous accule toujours plus, nous voyons tomber des millions d’euros sous notre nez, à côté de chez nous, mais pas pour nous.
Récupérons l’argent des J.O !
Défendons les espaces que l’on habite, où l’on se rencontre, s’entraide et s’amuse (vraiment) !
59 rue Thiers 13001 Marseille
La Coordination des actions anti-gentrification (la CAAG) invite à l’organisation d’une manifestation du 5 novembre offensive : « Du taudis au Airbnb : mal-logement ou délogement, on n’en peut plus, on n’en veut plus ! »
RDV Lundi 9 octobre 18h30 Manifesten 59 rue Thiers ...et chaque quinzaine !
A la coordination des luttes anti-gentrification, depuis une année, des collectifs et des habitant.e.s s’organisent et ripostent ! Charivari de conciergeries, perturbation de boitiers de remise de clés, certification « gentrificateur de merde » pour les commerces qui spéculent sur notre dos, invasion visuelle sur les murs du quartier, soutien aux occupations, jeu de piste et carnaval revendicatifs … Toute nouvelle bonne idée à sa place, tant qu’elle enraye le processus d’accaparation du logement.
Cette rentrée, face à l’ampleur du désastre, on passe à la vitesse supérieure. La coalition du printemps marseillais, a été élue sous la promesse d’un changement au printemps 2020, à la tête d’une ville endeuillée par les effondrements de la rue d’Aubagne le 5 novembre 2018 et par des années de politiques d’insalubrité. Mais les délogements s’accélèrent : après le péril par l’argent.
La coordination invite toutes celles et ceux qui se sentent concernés à la rejoindre, à partir de lundi 9 octobre 18h30 à Manifesten (59 rue Thiers), et chaque quinzaine, pour organiser le 5 novembre prochain la manifestation du grand ras-le-bol. Et lancer un mouvement d’ampleur, avec pour objectifs : reprendre nos logements, mettre à mort Airbnb à Marseille.
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61 rue Consolat, 13001 Marseille