Agenda
Le BTP est un secteur d’activité dans lequel les conditions de travail sont particulièrement précaires et celui où il y a le plus d’accidents du travail. En France, 20% des travailleureuses/travailleurs et travailleuses du BTP ne sont pas déclarées. Les autres sont isolés dans des statuts déprimants / précarisants (intérim, auto-entrepreneurs...). Les salaires sont généralement très bas et les non-versements de paye sont fréquents, surtout pour les personnes sans papiers.
C’est pourquoi on veut mener la lutte notamment sur les fronts de la régularisation des personnes sans papiers, la sortie des statuts précaires, la sécurité au travail, la fin du virilisme sur les chantiers...
Ensemble, on s’auto-forme sur les droits liés à nos différents statuts (droit de retrait, intempéries, accidents du travail...), on s’organise pour améliorer nos conditions de travail et nos rémunérations. On combat aussi toutes les discriminations qu’on vit au taf. On souhaite créer un lieu d’échange et de soutien où on peut se parler de ce qu’on vit et partager nos galères, des questions et des conseils.
Si vous bossez dans le bâtiment, que ce soit au black, en intérim, comme indépendant.e ou dans n’importe quel autre statut où vous êtes exploité.e.s, venez nous voir à l’occasion de nos permanences au local de Solidaires, 29 boulevard Longchamp, Marseille, tous les mercredis de 18h30 à 20h30.
Avec ou sans papiers, syndiqué.e ou pas, le collectif est ouvert à toutes les personnes qui travaillent dans le bâtiment.
Pour nous contacter :
btp13@riseup.net
0695754271
29 boulevard Longchamp, 13001, Marseille
Tous les jeudis à partir de 12h30 à la Dar centre social autogéré (127, rue d’Aubagne) | prix libre
The Noble Kitchen (TNK) c’est quatre femmes qui se retrouvent au cœur du drame de l’incendie criminel de la cité des Flamants à l’été 2021 (4 personnes décéderont, des dizaines seront blessées et choquées, 300 sont délogées sans solution durable). Créée dans l’urgence, la cantine TNK va préparer chaque jour des centaines de repas pour les expulsé.es de la cité, hébergé.es provisoirement dans des hôtels sans possibilité de cuisiner.
La cantine populaire qu’elles animent à la Dar le jeudi depuis ces terribles événements a servi à appuyer ces initiatives de solidarité spontanée et directe. Aujourd’hui encore l’excédent de repas est distribué aux familles et personnes en situation d’extrême précarité de la communauté. Comme elles le disent "nous agissons là ou l’État aurait dû être présent mais a abandonné les personnes à leur sort".
TNK à la Dar c’est aussi une cantine populaire à prix libre, c’est-à-dire la possibilité de manger des plats typiques de la cuisine nigériane même si on est sans le sou, selon ses moyens. Avec l’explosion des prix et la transformation des quartiers du centre-ville avec des lieux branchés souvent hors de portée du porte-monnaie de la plupart d’entre nous, une cantine populaire à prix libre fait plus de sens que jamais.
Prix libre | Maximum de solidarité
127, rue d’Aubagne, 13006 Marseille
88 rue d’Alger, 13005 Marseille
23 Boulevard Charles Nedelec 13003 Marseille
Venez assister à une projection débat sur l’Eco-féminisme !
Inscriptions recommandées à prix libre : https://www.helloasso.com/associations/alternatiba-marseille/evenements/projection-debat-soeurs-de-combat?fbclid=IwAR3OhsI2UhWVVGCQ_FZRQ4dx-HEzbP7hSRadRLPsbGfnXVIFeRAdEjdBczg
Le film sera suivi d’un débat avec Pauline Boyer, activiste et auteure du "Manifeste pour la non violence" et Jeanne Burgart, auteure de "Etre écoféministe".
Le débat sera suivi d’une séance de dédicace des livres.
29 Boulevard Longchamp
Atelier ouvert d’apprentissage ou perfectionnement (tous niveaux) autour des chants traditionnels de Carnaval, en particulier en langue d’oc.
Des tapas en soutien au collectif 113 (mineurs isolés) seront servis à prix libre.
Maximum de solidarité !
127, rue d’Aubagne Marseille
Anarcha pour ANARCHISTES FÉMINISTES ET TRANSPDGOUINES !
Pendant trois jours, les 3, 4 et 5 mars 2023, nous voulons continuer de renforcer le réseau tissé pendant 1 an et demi, à l’échelle locale et dans d’autres pays. Nous voulons faire vivre nos pratiques autonomes, discuter, et partager nos expériences, des plus quotidiennes -cuisine, bricolage, chants révolutionnaires, couture et électricité- aux plus insurrectionnelles - en apprenant par exemple de la révolution en Syrie ou de la lutte contre la gentrification à Exarcheia -.
65Bis rue Voltaire, Montreuil
La Mi-hantée est un lieu d’activité et d’organisation situé au 88 rue d’Alger.
Depuis quelques temps, ce lieu acceuille des activitées, des réunions, du sport, des évènements...
A partir du vendredi 18/11/2022, une permanence sera assurée de 16h30 à 18h30
Si vous souhaitez venir proposer une activitée, déposer des vetements dans le free-shop ou feuilletez l’infokiosques c’est l’occasion.
Un bar soft à prix libre sera disponible sur place
contact : lamihantee@riseup.net
88 rue d’Alger
Vendredi 3 mars à 19h à la Librairie Transit (51 Boulevard de la Libération, 13001 Marseille)
51 Boulevard de la Libération, 13001 Marseille
Afin de se rencontrer, créer des liens, s’organiser collectivement, se donner de la force, préparer un cortège déter, visibiliser d’autres luttes, RDV DIMANCHE 5 MARS VIEUX PORT à 12H coté métro pour une préparation festive de la semaine de mobilisation contre la réforme des retraites.
Marseille
En amont des espaces enfants prévus le 8 mars, nous proposons aux parent-es et aux enfants de venir rencontrer les personnes qui garderont les enfants, pour faire connaissance. Par la même occasion tout le monde pourra participer à un atelier banderoles en lien avec les questions de féminisme et parentalité.
Côté ensoleillé ☀️ vers rue Saint Savournin
7 Rue Louis Pasteur, 84000 Avignon, France
Assemblée prémanif et déambulation en cortège dans les rues de Marseille
Gare saint Charles, Marseille
Journée du 7 mars :
- 6h30, parvis de la gare fac St Charles : action/blocage
- 10h, parvis de la gare fac St Charles : départ en manif avec le cortège étudiant
- 10h30, en face du carrousel (Canebière) : action
- 16h, assemblée de lutte : point sur la journée, gestion arrestations éventuelles, préparation lendemain
Gare saint Charles, Marseille
Journée du 7 mars :
- 6h30, parvis de la gare fac St Charles : action/blocage
- 10h, parvis de la gare fac St Charles : départ en manif avec le cortège étudiant
- 10h30, en face du carrousel (Canebière) : action
- 16h, assemblée de lutte : point sur la journée, gestion arrestations éventuelles, préparation lendemain
Vieux-Port, Marseille
Point fixe d’information et échange pendant la manifestation contre la réforme des retraites
Journée du 7 mars :
- 6h30, parvis de la gare fac St Charles : action/blocage
- 10h, parvis de la gare fac St Charles : départ en manif avec le cortège étudiant
- 10h30, en face du carrousel (Canebière) : action
- 16h, assemblée de lutte : point sur la journée, gestion arrestations éventuelles, préparation lendemain
Gare saint Charles, Marseille
Une présentation et discussion autour de la lutte contre les mégas
> bassines dans le Poitou et un appel à se mobiliser massivement le 25
> mars prochain. Dans un contexte de sécheresse record en février, le
> partage de l’eau est un enjeu primordial. Dans le marais Poitevin, un
> bras de fer est engagé contre l’Etat et une poignée d’exploitants de
> l’agro industrie qui visent à s’accaparer les ressources en eau et
> déssecher une des dernières régions humides du pays.
59 rue thiers
Blocage de la plateforme de la Poste du Dôme, contre la réforme des retraites et en solidarité avec les interpellés du 7 mars
46 avenue de St Just
13004 Marseille
Rassemblement pour exiger la libération immédiate des personnes interpellées lors de la répression de la journée du 7 mars !
Croisement Canebière-Cours Lieutaud-Bld d’Athènes
Manifestation intersyndicale à l’occasion de la journée internationale de lutte pour les droits des femmes. Arrivée Porte d’Aix
Place du Général-de-Gaulle
En ce jour de grève internationale des femmes, l’association des femmes kurde de Marseille apellent toutes les femmes, et toutes celleux qui luttent contre les violences patriarcales et son système d’exploitation, à nous rejoindre dans la rue pour manifester ensemble, sous le slogan Jin, Jiyan, Azadî - Femme, Vie, Liberté.
Cette année, nous marcherons en la mémoire de notre camarade Evin Goyî, représente du mouvement des femmes kurdes en France, assassinée à Paris le 23 décembre 2023 au coté de Mîr Perwer et Abdurrahman Kizil. Notre message est claire ; notre vengeance sera la révolution des femmes.
Rdv à partir de 13:00 devant le métro Réformés-Canebière, le 8 mars.
Nous serons aussi sur la Zone d’Occupation Féministe au Vieux-Port.
Envahissons les rues le 8 mars et retrouvons nous tou.te.s ensemble pour lutter !
Rendez-vous à 14h au Vieux port sur la ZOF (Zone d’occupation Féministe) et à 17h30 en manifestation !
Tête de cortège en mixité choisie (sans homme cisgenre)
Espace enfant sur la ZOF de 14h à 17h et char pour enfants/cortège de poussettes pendant la manif
Point fixe d’information et échange pendant la zone d’occupation féministe.
Le BTP est un secteur d’activité dans lequel les conditions de travail sont particulièrement précaires et celui où il y a le plus d’accidents du travail. En France, 20% des travailleureuses/travailleurs et travailleuses du BTP ne sont pas déclarées. Les autres sont isolés dans des statuts déprimants / précarisants (intérim, auto-entrepreneurs...). Les salaires sont généralement très bas et les non-versements de paye sont fréquents, surtout pour les personnes sans papiers.
C’est pourquoi on veut mener la lutte notamment sur les fronts de la régularisation des personnes sans papiers, la sortie des statuts précaires, la sécurité au travail, la fin du virilisme sur les chantiers...
Ensemble, on s’auto-forme sur les droits liés à nos différents statuts (droit de retrait, intempéries, accidents du travail...), on s’organise pour améliorer nos conditions de travail et nos rémunérations. On combat aussi toutes les discriminations qu’on vit au taf. On souhaite créer un lieu d’échange et de soutien où on peut se parler de ce qu’on vit et partager nos galères, des questions et des conseils.
Si vous bossez dans le bâtiment, que ce soit au black, en intérim, comme indépendant.e ou dans n’importe quel autre statut où vous êtes exploité.e.s, venez nous voir à l’occasion de nos permanences au local de Solidaires, 29 boulevard Longchamp, Marseille, tous les mercredis de 18h30 à 20h30.
Avec ou sans papiers, syndiqué.e ou pas, le collectif est ouvert à toutes les personnes qui travaillent dans le bâtiment.
Pour nous contacter :
btp13@riseup.net
0695754271
29 boulevard Longchamp, 13001, Marseille
rassemblement de soutien
Appel sur le contrôle judiciaire.
Tribunal judiciaire de Limoges
23 PLACE WINSTON CHURCHILL
87000 LIMOGES
Tous les jeudis à partir de 12h30 à la Dar centre social autogéré (127, rue d’Aubagne) | prix libre
The Noble Kitchen (TNK) c’est quatre femmes qui se retrouvent au cœur du drame de l’incendie criminel de la cité des Flamants à l’été 2021 (4 personnes décéderont, des dizaines seront blessées et choquées, 300 sont délogées sans solution durable). Créée dans l’urgence, la cantine TNK va préparer chaque jour des centaines de repas pour les expulsé.es de la cité, hébergé.es provisoirement dans des hôtels sans possibilité de cuisiner.
La cantine populaire qu’elles animent à la Dar le jeudi depuis ces terribles événements a servi à appuyer ces initiatives de solidarité spontanée et directe. Aujourd’hui encore l’excédent de repas est distribué aux familles et personnes en situation d’extrême précarité de la communauté. Comme elles le disent "nous agissons là ou l’État aurait dû être présent mais a abandonné les personnes à leur sort".
TNK à la Dar c’est aussi une cantine populaire à prix libre, c’est-à-dire la possibilité de manger des plats typiques de la cuisine nigériane même si on est sans le sou, selon ses moyens. Avec l’explosion des prix et la transformation des quartiers du centre-ville avec des lieux branchés souvent hors de portée du porte-monnaie de la plupart d’entre nous, une cantine populaire à prix libre fait plus de sens que jamais.
Prix libre | Maximum de solidarité
127, rue d’Aubagne, 13006 Marseille
Jeudi 9 Mars 2023, à l’hydre aux milles têtes à Marseille, on profite de la sortie du manuel Radio it yourself aux éditions Tahin-party pour faire de la radio ensemble suivi d’une émission / discussion en public.
De 17h00 à 18h30, les mains dans les câbles : Atelier montage d’un studio mobile et en parallèle atelier Montage d’une antenne et de son émetteur.
19h00 : Discussion / Émission de radio en public sur le thème « Comment s’approprier l’outil radiophonique dans des cadres associatifs ou des diffusions pirates ? » avec l’auteur de Radio it yourself, des membres de la plateforme Radiorageuses, de radio π-node, et d’autres.
Venez écouter, participer, découvrir cet univers, poser des questions, acheter le manuel…
96 rue Saint Savournin, Marseille
59 rue Thiers, 13001 Marseille
La Jineolojî est un terme original composé du mot kurde "jin" qui veut dire femme, et partage sa racine avec le mot vie, “jiyan”. Ainsi que du mot "lojî" qui vient du grec "logos" signifiant discours, raison, science. La Jineolojî est une science, celle des femmes et de la vie.
Développée depuis 2011 par le Mouvement des femmes libre du Kurdistan, elle se fonde sur 40 années d’expérience du mouvement kurde, ainsi que sur la recherche et l’analyse des cultures et des luttes des femmes du Kurdistan et du monde.Retour ligne automatique
La Jineolojî aspire à révéler l’histoire des femmes ("herstory") et à raviver leurs savoirs et valeurs. Son objectif est de permettre aux femmes, en tant que réalité sociale, de développer une connaissance profonde de leurs situations, de se réapproprier les éléments essentiels de leur vie et de trouver une issue à la crise du xxɪᵉ siècle imposée par le système patriarcal, capitaliste et colonial. La Jineolojî est une science sociale développant une méthodologie alternative, tout en critiquant la mentalité positiviste des sciences modernes, construites par le point de vue hégémonique de “l’homme occidental” qui, au lieu d’être au service de la libération de la société, devient un outil de contrôle et de défense du statut quo.
Réunissant des femmes de différents peuples et cultures, la Jineolojî est une actrice importante de la révolution du Rojava, elle est aujourd’hui développée dans toutes les régions de l’Administration Autonome du Nord et de l’Est Syrien ainsi que dans toutes les régions du Kurdistan. Retour ligne automatique
Depuis quelques années, elle a traversé les frontières du Moyen-Orient, trouvant une résonance internationale. Notamment en Europe et en Amérique du Sud, où elle génère l’intérêt des mouvements de femmes et des féministes du monde entier.
La présentation de Jineolojî sera suivi de la projection du film Şorêşa Jin - La révolution des femmes, et sera suivi d’un débat avec la salle.Retour ligne automatique
Infokiosque sur place.Retour ligne automatique
Soirée à ouverte à toustes.
Les membres du groupe Jineolojî Provence
29 bd Longchamps - Marseille 01
Espace d’échange, d’auto-soutien et d’autodéfense pour s’organiser en force collective face aux propriétaires, aux agences et expulsions.
Fais tourner dans tes réseaux !
127 rue d’Aubagne -13001 Marseille
Assemblée Publique contre la loi immigration de Gérard Darmanin
27 boulevard Longchamp 13001
L’histoire de l’île Maurice et singulière : inhabitée jusqu’au 16e siècle, elle est ensuite occupée par les hollandais, les français puis les anglais jusqu’en 1968. À leur départ, Maurice subit une grave crise économique et identitaire. Qui sont les mauricien.nes ? Comment conforter la bonne entente entre les populations de différentes origines et inventer une nouvelle identité ? On assiste alors à une grande émergence culturelle, et en particulier musicale, qui à travers cette recherche d’identité participe à la « mauricianisation » du pays. La question de la décolonisation mauricienne, qui impacte tous les peuples de l’océan indien et leur diaspora sera à l’ordre du jour de cette Fête de l’Indépendance à la Dar cette année.
Concert et paroles engagées de Jagdish Konexyon et ses invité.es
Prix libre en soutien à l’association « Cultures en fusion » qui développe des projets sociaux ici et là-bas sur des bases culturelles.
127, rue d’Aubagne
3 rue Pierre Roche 13004 Marseille
Au programme de ces ateliers collectifs :
Des discussions et partage d’expériences** sur comment on s’organise collectivement et individuellement pour ne pas / plus travailler et vivre (mais aussi pour faire face à d’éventuelles peurs et freins à ne pas travailler) , comment faire face à la répression / contrôle des précaires (réforme du RSA, du chômage, tout ça ... )
Ça se passe le 13/03 à la Base au 3 rue Pierre Roche à 18h00 !
Pourquoi critiquer / refuser l’emploi ?
L’emploi* est un mode d’organisation économique extrêmement récent (quelques siècles) où chacun·e doit se débrouiller pour essayer de vendre une part importante de son temps libre et son énergie comme marchandise (pour produire des biens et services) en échange d’argent qui permettra d’acheter des marchandises pour sa [sur]vie.
Il a remplacé, en occident puis ailleurs, une économie de subsistance basée sur les activités vivrières, savoirs artisanaux / paysans, les solidarités et l’entraide à l’échelle de communautés et villages ( des échanges marchands pouvaient exister de manière plus marginale)
Politiques et capitalistes proclament que le travail est « la clé de l’émancipation et de la dignité’ (à une époque pas si lointaine on disait que « le travail rend libre ») alors qu’il est tout son contraire : aliénant, anti-social et anti-écologique.
Que faire pour sortir de notre dépendance à l’emploi ?
Dans notre société individualiste, quasiment tout est marchandise et nous avons besoin d’argent, certain·es plus que d’autres, pour [sur]vivre ! Être contre l’emploi ce n’est pas être contre les salarié·es es ! Les solidarités ouvrières et entre travailleureuses sont importantes tant que nous aurons besoin d’argent pour [sur]vivre !
Mais nous ne sommes pas condamnés à travailler toute notre vie ! Collectivement nous pouvons déserter / refuser l’emploi ! Pour s’en sortir on ne peut compter que sur nous tou·tes, sans états ni institutions, avec l’organisation collective, l’entraide, la création ou l’implication dans des centres sociaux / fermes / ateliers autogérés, de collectifs de débrouille administrative …
Seront présentes des personnes des chômheureuses***, un collectif de personnes qui, malgré des situations diverses face à l’emploi (chômage, RSA, intermittence, contrats courts, temps partiels, auto-entreprise, ...) se retrouvent le lundi matin pour partager leurs galères et se donner de la force collectivement.
Pour faire face aux institutions qui nous culpabilise de refuser leurs taffs usants, inutiles, absurdes voir néfastes. Pour trouver des choses à faire et des personnes avec qui les faire pour occuper ce temps libéré !
Nous ne voulons pas du plein emploi, mais d’une vie pleine de joies et de luttes !
Retrouvons nous le 13/03 à la Base au 3 rue Pierre Roche à 18h pour en discuter et s’organiser collectivement pour déserter / refuser l’emploi !
* L’emploi ce n’est pas seulement le salariat mais aussi l’auto-entrepreunariat, les activités libérales, commerciales ou agricoles / paysannes. Malgré la détention de leurs propres outils de production ces activités « indépendantes » n’y sont pas des alternatives libérées de toutes les contraintes du salariat mais une continuité des rapports de domination entre classes.
** Qui pourront notamment s’appuyer sur la brochure du bureau de désertion de l’emploi (disponible sur le site https://bdt.ouvaton.org) en plus des expériences des participant·es
*** Pour plus d’infos c’est par ici : https://la-dar.org/les-chomheureuses/ et pour les contacter : chomheureuses@protonmail.com
3 rue Pierre Roche
13004 Marseille
On continue de mettre la pression ! Après le blocage réussi de la porte C2 du port mardi 14, on remet ça mercredi 15/03, RDV 7h au métro Joliette.
Ramenez du monde, et de quoi faire du bruit !
Le BTP est un secteur d’activité dans lequel les conditions de travail sont particulièrement précaires et celui où il y a le plus d’accidents du travail. En France, 20% des travailleureuses/travailleurs et travailleuses du BTP ne sont pas déclarées. Les autres sont isolés dans des statuts déprimants / précarisants (intérim, auto-entrepreneurs...). Les salaires sont généralement très bas et les non-versements de paye sont fréquents, surtout pour les personnes sans papiers.
C’est pourquoi on veut mener la lutte notamment sur les fronts de la régularisation des personnes sans papiers, la sortie des statuts précaires, la sécurité au travail, la fin du virilisme sur les chantiers...
Ensemble, on s’auto-forme sur les droits liés à nos différents statuts (droit de retrait, intempéries, accidents du travail...), on s’organise pour améliorer nos conditions de travail et nos rémunérations. On combat aussi toutes les discriminations qu’on vit au taf. On souhaite créer un lieu d’échange et de soutien où on peut se parler de ce qu’on vit et partager nos galères, des questions et des conseils.
Si vous bossez dans le bâtiment, que ce soit au black, en intérim, comme indépendant.e ou dans n’importe quel autre statut où vous êtes exploité.e.s, venez nous voir à l’occasion de nos permanences au local de Solidaires, 29 boulevard Longchamp, Marseille, tous les mercredis de 18h30 à 20h30.
Avec ou sans papiers, syndiqué.e ou pas, le collectif est ouvert à toutes les personnes qui travaillent dans le bâtiment.
Pour nous contacter :
btp13@riseup.net
0695754271
29 boulevard Longchamp, 13001, Marseille
Tous les jeudis à partir de 12h30 à la Dar centre social autogéré (127, rue d’Aubagne) | prix libre
The Noble Kitchen (TNK) c’est quatre femmes qui se retrouvent au cœur du drame de l’incendie criminel de la cité des Flamants à l’été 2021 (4 personnes décéderont, des dizaines seront blessées et choquées, 300 sont délogées sans solution durable). Créée dans l’urgence, la cantine TNK va préparer chaque jour des centaines de repas pour les expulsé.es de la cité, hébergé.es provisoirement dans des hôtels sans possibilité de cuisiner.
La cantine populaire qu’elles animent à la Dar le jeudi depuis ces terribles événements a servi à appuyer ces initiatives de solidarité spontanée et directe. Aujourd’hui encore l’excédent de repas est distribué aux familles et personnes en situation d’extrême précarité de la communauté. Comme elles le disent "nous agissons là ou l’État aurait dû être présent mais a abandonné les personnes à leur sort".
TNK à la Dar c’est aussi une cantine populaire à prix libre, c’est-à-dire la possibilité de manger des plats typiques de la cuisine nigériane même si on est sans le sou, selon ses moyens. Avec l’explosion des prix et la transformation des quartiers du centre-ville avec des lieux branchés souvent hors de portée du porte-monnaie de la plupart d’entre nous, une cantine populaire à prix libre fait plus de sens que jamais.
Prix libre | Maximum de solidarité
127, rue d’Aubagne, 13006 Marseille
Projection en soutien aux caisses de grève du film "Reprise en main" de Gilles Perret
108 Bd Françoise Duparc
13004 Marseille
Le 18 septembre 2017, 5 véhicules de la caserne Jourdan à Limoges sont incendiés. L’attaque est revendiquée (plus bas le lien du communiqué). L’instruction est ouverte. Après 4 perquisitions et 3 garde-à-vues, les chefs d’inculpations sont données : association de malfaiteurs - bande organisée - destruction par moyen incendiaire. Une personne reste poursuivie et est incarcérée en préventive et fait un an de taule et un an de prison à la maison avec bracelet.
Le procès a eu lieu le 28 février. Le proc demande 4 ans de prison dont 1 avec sursis. Il révoque son sursis et demande à la place 2 mois ferme de plus pour refus de prélèvements ADN. L’indemnisation de l’Etat est estimée à 243 500€.
Les éléments sur lesquels le dossier se basent sont des traces ADN et le profil présumé de l’anarchiste.
Parce que les actes pour lesquels cette personne passe en procès nous parlent, on veut se rassembler pour ne pas laisser passer cette affaire dans le silence et affirmer notre solidarité face à la répression, à l’occasion du rendu du procès qui aura lieu le 17 mars.
Y’aura un infokiosque sur les questions d’ADN et de prise d’empreintes par les keufs. Aussi on a envie d’aborder la question de la solidarité : de qui ? de quoi ? pourquoi ? quel forme ? c’est quoi les limites à la solidarité qu’on a envie d’exprimer ?
Que crève ce monde de merde, anti-keufs jusqu’au bout des ongles
Place Jean-Jaurès
Soutiens les caisses de grève. Viens et file des ronds à la projection de rue de "Détruire rajeunit" de Benjamin Hennot dont nous avions déjà diffusé le magnifique "la bataille de l’eau noire". Ce Vendredi 17 mars sur la Plaine à 20h. On passera aussi un film court de Primitivi "soupe(s) de colère et le teaser pour le carnaval 2023 !!
Place Jean Jaurès
Ce samedi 14h-16h, départ de la Plaine, jeu de piste "Touriste perdu.e dans la cité maudite".
La vie d’un.e touriste n’est pas toujours facile, surtout à Marseille. Et quand il/elle ne trouve pas ses clés Airbnb, c’est même plutôt la galère... Viens t’amuser avec nous. Si tu veux, tu peux enfiler ton déguiz de pré-carnaval et apporter ton matos marrant. Ta conciergerie autogérée s’occupe de reste.
Jeu urbain pour tout niveau.
Les causeries du CIRA : Samudaripen, le génocide des Tsiganes par Claire Auzias
50 rue Consolat 13001 Marseille
Grand bal à la Dar pour la caisse de soutien contre la répression patronale des postier.es en lutte, prix libre.
Depuis des mois et des mois, la tension est extrême dans les centres de tri et les antennes postales. Les Directions et "managers" cherchent par tous les moyens à ratiboiser les services au public, réduire le nombre de tournées, faire vendre tout et n’importe quoi par les facteur.es, intensifier le travail... en réduisant le personnel évidemment. Et quand un.e postier.e se dresse pour contester, c’est le conseil de discipline, le blâme, la mise à pied, voire les licenciements !
Face à cette chasse aux rebelles, syndiqué.es et non-syndiqué.es s’organisent pour compenser la privation de salaire de leurs collègues.
Alors samedi 18 mars, avec nos camarades de la Poste, on va guincher contre les patrons et ramener du pognon.
21h - Jolly Rougeurs (folk de ponton et blues de comptoir)
suivi de DJ Wild Cat Lou (100% Rock and Roll, from blues to punk)
127, rue d’Aubagne Marseille
RDV appelé par Force ouvrière devant l’usine Arcelor-Mittal
Blocage à l’appel de la CGT13
ACTION CONCRÈTE, rendez vous 11H30 - appel de l’intersyndicale
29 bd Longchamp Marseille
Action annulée
Panier
Rendez vous sous l’ombrière pour Action. A l’appel de l’intersyndicale éduc’
MARSEILLE
Assemblée Générale de grévistes et opposant.es à la Réforme de tous secteurs.
Faculté Saint Charles
Le BTP est un secteur d’activité dans lequel les conditions de travail sont particulièrement précaires et celui où il y a le plus d’accidents du travail. En France, 20% des travailleureuses/travailleurs et travailleuses du BTP ne sont pas déclarées. Les autres sont isolés dans des statuts déprimants / précarisants (intérim, auto-entrepreneurs...). Les salaires sont généralement très bas et les non-versements de paye sont fréquents, surtout pour les personnes sans papiers.
C’est pourquoi on veut mener la lutte notamment sur les fronts de la régularisation des personnes sans papiers, la sortie des statuts précaires, la sécurité au travail, la fin du virilisme sur les chantiers...
Ensemble, on s’auto-forme sur les droits liés à nos différents statuts (droit de retrait, intempéries, accidents du travail...), on s’organise pour améliorer nos conditions de travail et nos rémunérations. On combat aussi toutes les discriminations qu’on vit au taf. On souhaite créer un lieu d’échange et de soutien où on peut se parler de ce qu’on vit et partager nos galères, des questions et des conseils.
Si vous bossez dans le bâtiment, que ce soit au black, en intérim, comme indépendant.e ou dans n’importe quel autre statut où vous êtes exploité.e.s, venez nous voir à l’occasion de nos permanences au local de Solidaires, 29 boulevard Longchamp, Marseille, tous les mercredis de 18h30 à 20h30.
Avec ou sans papiers, syndiqué.e ou pas, le collectif est ouvert à toutes les personnes qui travaillent dans le bâtiment.
Pour nous contacter :
btp13@riseup.net
0695754271
29 boulevard Longchamp, 13001, Marseille
RDV pour Action sur le parvis de la Gare St Charles coté Faculté.
MARSEILLE
Manifestation unitaire pour le retrait de la réforme des retraites.
- > Mucem -> Porte d’Aix
Marseille
Tous les jeudis à partir de 12h30 à la Dar centre social autogéré (127, rue d’Aubagne) | prix libre
The Noble Kitchen (TNK) c’est quatre femmes qui se retrouvent au cœur du drame de l’incendie criminel de la cité des Flamants à l’été 2021 (4 personnes décéderont, des dizaines seront blessées et choquées, 300 sont délogées sans solution durable). Créée dans l’urgence, la cantine TNK va préparer chaque jour des centaines de repas pour les expulsé.es de la cité, hébergé.es provisoirement dans des hôtels sans possibilité de cuisiner.
La cantine populaire qu’elles animent à la Dar le jeudi depuis ces terribles événements a servi à appuyer ces initiatives de solidarité spontanée et directe. Aujourd’hui encore l’excédent de repas est distribué aux familles et personnes en situation d’extrême précarité de la communauté. Comme elles le disent "nous agissons là ou l’État aurait dû être présent mais a abandonné les personnes à leur sort".
TNK à la Dar c’est aussi une cantine populaire à prix libre, c’est-à-dire la possibilité de manger des plats typiques de la cuisine nigériane même si on est sans le sou, selon ses moyens. Avec l’explosion des prix et la transformation des quartiers du centre-ville avec des lieux branchés souvent hors de portée du porte-monnaie de la plupart d’entre nous, une cantine populaire à prix libre fait plus de sens que jamais.
Prix libre | Maximum de solidarité
127, rue d’Aubagne, 13006 Marseille
après la manif jeudi, on se retrouve devant la Dar pour un barbecue en soutien aux grévistes de l’usine Satys en reconductible depuis le 7 mars ! Prix libre, direct caisse de grève
Depuis la grève nationale du 7 mars, la totalité des ouvriers de Satys, fabricant de revêtements pour l’aéronautique, ont cessé de travailler. Devant l’usine de Saint-Antoine, ils réclament des augmentations de salaire et rappellent les risques chimiques liés à leur travail de production.
Avec des fins de mois à 1500, 1600 euros et sans grande perspective d’augmentation, les grévistes se disent "smicards". Depuis une semaine, la totalité des ouvriers de l’usine participent à la grève. Soit environ 110 salariés selon la CGT, syndicat majoritaire. "La seule chose qui entre et qui sort encore de l’usine, c’est les voitures de la direction. Sinon, toute la production est à l’arrêt", se félicite David Gerin, délégué CGT. Sur le chemin de la Madrague-Ville, des voitures s’arrêtent en double-file ou klaxonnent en signe de soutien. "Tout le monde se connaît ici, poursuit le délégué syndical. La plupart des salariés viennent des quartiers Nord. On est un vivier d’emplois important pour le secteur."
Djamel soupire : "avec la grève, la direction a perdu plus d’argent que si elle avait accepté nos revendications salariales. Ça veut dire qu’ils l’ont, l’argent. C’est juste qu’ils nous traitent comme des riens du tout."
[sources : Marsactu 14 mars 2023]
127, rue d’Aubagne Marseille
Le dépôt pétrolier de Fos s/ Mer est bloqué par des centaines de personnes, CGTistes ou non, syndicalistes ou non, venues parfois de loin.
Des covoiturages s’organisent ici (lien Signal) pour relayer les bloqueur·euses.
Les réquisitions de personnel se terminent à 19h, il faut donc au moins rester sur place jusqu’à cette heure-là pour être efficace !
Le blocage recommence demain, mais cette fois-ci de l’approvisionnement - la stratégie est de se mettre en grève / de bloquer de manière tournant les différents maillons de la chaîne de production de la raffinerie : réception ; stockage ; raffinage.
43°26’32.6"N 4°54’49.0"E
Récap d’hier en images
On r’met ça ?
Fontaine
Après le passage en force de la réforme des retraites, le pouvoir va déployer l’arme de la division par le racisme pour se reconsolider. C’est l’idée que porte la loi Darmanin : le problème ce serait les immigrés.Retour ligne automatique
Contre le racisme, le tri migratoire et les politiques xénophobes, rdv samedi 11h Porte d’Aix !
13001 Marseille
29 Boulevard Longchamp 13001 Marseille
Projection de rue en soutien à la Legal team
Une semaine après la réjouissante projection de "Détruire rajeunit" vendredi dernier,
pour la grève générale et contre les méga-bassines : rien de mieux que de proposer un autre film du camarade Belge Benjamin Hennot : "LA BATAILLE DE L’EAU NOIRE".
Belgique 1978 : Les irréductibles Couvinois au complet entrent en guérilla contre un projet de Méga-barrage insensé qui ruinerait leurs vallées. Ca va barder !
6 rue Joseph Autran, 13006 Marseille
Le BTP est un secteur d’activité dans lequel les conditions de travail sont particulièrement précaires et celui où il y a le plus d’accidents du travail. En France, 20% des travailleureuses/travailleurs et travailleuses du BTP ne sont pas déclarées. Les autres sont isolés dans des statuts déprimants / précarisants (intérim, auto-entrepreneurs...). Les salaires sont généralement très bas et les non-versements de paye sont fréquents, surtout pour les personnes sans papiers.
C’est pourquoi on veut mener la lutte notamment sur les fronts de la régularisation des personnes sans papiers, la sortie des statuts précaires, la sécurité au travail, la fin du virilisme sur les chantiers...
Ensemble, on s’auto-forme sur les droits liés à nos différents statuts (droit de retrait, intempéries, accidents du travail...), on s’organise pour améliorer nos conditions de travail et nos rémunérations. On combat aussi toutes les discriminations qu’on vit au taf. On souhaite créer un lieu d’échange et de soutien où on peut se parler de ce qu’on vit et partager nos galères, des questions et des conseils.
Si vous bossez dans le bâtiment, que ce soit au black, en intérim, comme indépendant.e ou dans n’importe quel autre statut où vous êtes exploité.e.s, venez nous voir à l’occasion de nos permanences au local de Solidaires, 29 boulevard Longchamp, Marseille, tous les mercredis de 18h30 à 20h30.
Avec ou sans papiers, syndiqué.e ou pas, le collectif est ouvert à toutes les personnes qui travaillent dans le bâtiment.
Pour nous contacter :
btp13@riseup.net
0695754271
29 boulevard Longchamp, 13001, Marseille
Tous les jeudis à partir de 12h30 à la Dar centre social autogéré (127, rue d’Aubagne) | prix libre
The Noble Kitchen (TNK) c’est quatre femmes qui se retrouvent au cœur du drame de l’incendie criminel de la cité des Flamants à l’été 2021 (4 personnes décéderont, des dizaines seront blessées et choquées, 300 sont délogées sans solution durable). Créée dans l’urgence, la cantine TNK va préparer chaque jour des centaines de repas pour les expulsé.es de la cité, hébergé.es provisoirement dans des hôtels sans possibilité de cuisiner.
La cantine populaire qu’elles animent à la Dar le jeudi depuis ces terribles événements a servi à appuyer ces initiatives de solidarité spontanée et directe. Aujourd’hui encore l’excédent de repas est distribué aux familles et personnes en situation d’extrême précarité de la communauté. Comme elles le disent "nous agissons là ou l’État aurait dû être présent mais a abandonné les personnes à leur sort".
TNK à la Dar c’est aussi une cantine populaire à prix libre, c’est-à-dire la possibilité de manger des plats typiques de la cuisine nigériane même si on est sans le sou, selon ses moyens. Avec l’explosion des prix et la transformation des quartiers du centre-ville avec des lieux branchés souvent hors de portée du porte-monnaie de la plupart d’entre nous, une cantine populaire à prix libre fait plus de sens que jamais.
Prix libre | Maximum de solidarité
127, rue d’Aubagne, 13006 Marseille
En soutien aux 2 manifestants dans le coma, aux blessé-es de #SainteSoline et du mouvement contre la Réforme des retraites, pour la fin des violences policières.
Débat harissa de Massalia voX
15 boulevard de la liberté/20 rue Lafayette 13001
Du 31 mars au 2 avril à la Dar, centre social autogéré (127 rue d’Aubagne) : la Fédération anarchiste organise un weekend antinucléaire à Marseille proposant une projection et des discussions avec des intervenant·es.
127 rue d’Aubagne, 13006 Marseille